Asv en colère, nos postes sont menacés

Avec ce nouveau projet de loi, ce sont encore des professions (vétérinaires, assistantes-vétérinaires) qui risquent, à terme, de subir des licenciements. En effet, si les vétérinaires font moins de chiffre d'affaires, cela aura forcément une répercussion sur l'emploi. Mais, avant même cela, les maitres d'animaux et les animaux, eux-mêmes, seront pénalisés. Les premiers de devoir courir chez le pharmacien après le diagnostic du vétérinaire. Cela étant encore plus compliqué pour les personnes âgées qui représente une bonne partie de la clientèle. Pour les seconds, de ne pas pouvoir bénéficier de traitements rapides en fonction de leur pathologie, pouvant en cela, retarder ou compromettre la guérison de ces animaux. Cette loi entrainerait un autre problème tout aussi préoccupant, s'il en faut. Comment cela se passera-t-il pour les éleveurs et agriculteurs qui sont souvent installés dans des endroits très reculés et qui ne peuvent se permettre de descendre tout de suite "à la ville" après le passage du vétérinaire qui s'occupe de leur bétail. Cela, risque, dans le futur, de voir la diminution du cheptel et d'entrainer de nouvelles cessations d'activité dans le monde agricole. Mais de cela, le gouvernement, trop occupé à servir ces propres intérêts, n'a que faire. Une fois de plus, les lois sont faites pour avantager les "gros" au détriment de l'ensemble des français. Il faut tout faire pour que cela s'arrête!!!!!!