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2011-08-28 13:20

#2555: - Re: Re: Re: Re: SOUTIEN PLUS QUE JAMAIS A DSK - L'ACHARNEMENT CONTINUE 

 

SUR LE NET

L’examen médical de Naffissatou Diallo

Peu après les faits la plaignante a été examinée par une infirmière assermentée et examinatrice expérimentée au St Luke Roosevelt hôpital de Manhattan (New York). Pour l’examinatrice pas de blessure visible, de traumatisme sur le corps ou dans la cavité orale. Lors de l’examen gynécologique elle observe l’existence d’une «rougeur»sans toutefois faire la part entre «blessure» et«hématome» ni pouvoir affirmer qu’il s’agissait bien là d’une conséquence directe des faits allégués. Un autre spécialiste des agressions sexuelles a ensuite été convoqué. Après avoir travaillé sur le dossier médical il aboutit aux mêmes conclusions incertaines: cette coloration rouge était selon lui un élément non-spécifique, qui pouvait être attribué à de nombreuses causes autres qu’un traumatisme: au choix friction, irritation, inflammation de la zone etc. Pour autant on ne pouvait selon lui exclure que cette rougeur ait pu être due à la façon dont la plaignante affirmait avoir été saisie.

En toute hypothèse, et contrairement a ce qui a pu être extrapolé, notamment par L’Express.fr l’examen médico-légal ne pouvait que constater et décrire les lésions, nullement conclure à un viol, un rapport médical ne pouvant, de part et d’autre de l’Atlantique, se substituer à la police et à la justice.

Aucune conclusion médicale indiscutable n’a d’autre part pu être tirée de la douleur à l’épaule gauche dont la plaignante disait souffrir le 14 mai. Les enquêteurs ont aussi tenté de comprendre pourquoi la plus claire de ses deux paires de collants présentait un trou (d’un diamètre approximatif de 7,5 centimètres) situé dans l’entre-jambes et un autre (d’environ quatre centimètres) en haut du même collant. La plaignante a elle-même reconnu (devant l’examinatrice, puis devant la police et le procureur) qu’elle ne savait pas si ces trous étaient le résultat ou non de la conduite de l’accusé ou s’ils n’avaient aucun lien avec les faits incriminés. Et le procureur d’ajouter être de ce fait dans l’impossibilité de prétendre devant un jury que les trous observés sur les collants de la plaignante corroboraient l’accusation d’un rapport sexuel non consenti.