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polanski, sodomisateur de fillettes

/ #4205 alors comme ça tu préfères les brunes, perv, typiquement américaines?

2011-09-14 21:20

#4204: anne frank - le monstre 

 

Kristin Davis, qui était à la tête d'un réseau de call-girls jusqu'en 2008, affirme être en possession d'éléments prouvant que DSK a fait appel à ses services.

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La femme à la tête d'un réseau de call-girls, connue sous le surnom de «Manhattan Madam», déclare au Figaro vouloir témoigner en cas de procès de Dominique Strauss-Kahn et apporte de nouveaux détails par rapport à ses récentes déclarations. Kristin Davis avait affirmé au quotidien britannique The Times avoir eu pour client Dominique Strauss-Kahn en 2006. À l'époque, une call-girl à son service se serait plainte de son «agressivité». La «mère maquerelle», à la tête de l'ex-agence new-yorkaise Wicked Models, a été incarcérée quatre mois à Rikers Island en 2008 pour proxénétisme.

«Je ne veux plus protéger un homme qui abuse des femmes, j'espère que notre système judiciaire, qui est juste, le condamnera à hauteur des faits qui lui sont reprochés», déclare-t-elle au Figaro. Kristin Davis raconte avoir entendu parler pour la première fois de DSK en janvier 2006, lorsque Irma Ricci, l'une de ses «filles», vivant entre Paris et Londres, l'a avertie qu'il allait l'appeler à New York. «Irma lui offrait ses services régulièrement depuis 2002, elle le rencontrait au club Le Baron à Paris. Elle m'a dit: ne lui envoie pas une petite nouvelle, il est trop agressif, trop brutal.»

Ce même mois de janvier, affirme l'ex-«Manhattan Madam», Dominique Strauss-Kahn l'aurait appelée pour lui demander une «Américaine typique plutôt brune». Le tarif était de 1200 dollars de l'heure. «La conversation a été très rapide, il a été charmant», poursuit-elle, tout en refusant de dire si la destination était l'hôtel Sofitel. La call-girl, une fille du nom de Samantha, disponible ce soir-là, n'était pas des plus expérimentées mais elle correspondait à son goût. «Quand j'ai appelé pour vérifier que tout s'était bien passé, j'ai senti qu'il y avait quelque chose. Elle m'a dit ne plus vouloir avoir affaire à lui. Il avait été physiquement agressif, dominateur, intimidant.» DSK aurait fait appel une seconde fois à ses services (pour une Brésilienne), en septembre de la même année, cette fois sans poser de problème. Kristin Davis affirme avoir gardé sur ordinateur les preuves de ces «transactions» à New York.