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2011-10-07 14:41

L’agonie de la république française: au trou les menteurs et escrocs Sarkozy, Balladur, Donnedieu de Vabres, Léotard, Copé, Hortefeux, Chirac, Villepin, Giscard, feu Mitterrand et consorts ! 26 septembre 2011 | Auteur Jacques Thomet
24 septembre 2011

Pour conclure à l’inéluctable embastillage des sus-nommés, nul besoin de se cacher sous le bureau des juges d’instruction en charge des scandales sur les valises de millions. Etudier leurs dossiers suffit à les confondre.

Nicolas Sarkozy a menti tout le long dans l’affaire Karachi. Comme ministre du Budget à l’époque (1994), il est impliqué dans le dossier Agosta, ces sous-marins fabriqués pour le Pakistan, avec à la clef 11 ingénieurs français assassinés dans un attentat en 2002 dans cette ville pakistanaise pour le non paiement de commissions aux signataires du Pakistan. Que la justice l’auditionne !

Edouard Balladur, un autre soudard devenu « Ballamou » pour son vide à l’entre-jambe, et principal bénéficiaire des rétro-commissions dans le contrat Agosta pour sa campagne présidentielle de 1995, avec 20 millions de francs reçus en billets de 500 dans des valises quand il était Premier ministre. Il a osé attribuer cette fortune à la « vente de gadgets ». A entendre !

Renaud Donnedieu de Vabres. Ce « Bel Ami » tendre aux hommes, au nom aussi long que la brièveté de son ascension au ministère de la Culture pour y défendre les inadmissibles avantages des intermittents du spectacle, a été le bras-droit de son patron François Léotard, alors ministre de la Défense, pour gérer les commissions dans le dossier Agosta. Déjà condamné le 16 février 2004 pour blanchiment d’argent pour avoir participé, sur instruction du président du Parti républicain, à l’opération d’utilisation des fonds spéciaux de Matignon pour l’acquisition par le Parti républicain de son siège social[4],[5]. Sans autre peine qu’une amende de quinze mille euros. A entendre !

François Léotard, ce presque curé défroqué et ex-ministre de la Défense responsable du contrat Agosta sous Balladur, à qui on finirait par donner le Bon Dieu sans confession avant de se rendre compte qu’il nous enfle l’anus. A entendre !

Jean-François Copé, patron de l’UMP. Ce bellâtre a été arrosé par le sinistre Takieddine, le marchand d’armes dans l’affaire Augusta mis en examen à ce propos, quand il était ministre du Budget. Takieddine se rendait en Suisse avec le conseiller de Sarkozy, Thierry Gaubert, pour ramener des valises de millions à Nicolas Bazire, l’homme à tout faire de Balladur. A entendre !

Brice Hortefeux. Cet ex-ministre de l’Intérieur est resté aux abonnés absents pendant les exactions de la racaille de banlieue à Bagnolet, devant Paris, en 2007. Ses appels téléphoniques à Thierry Gaubert, y compris pendant la récente garde à vue de ce dernier pour l’alerter sur les aveux dans l’affaire Karachi d’Hélène de Yougoslavie, en instance de divorce avec ce même Thierry Gaubert, en font un témoin de choc. A entendre !

Jacques Chirac, escroc de longue date sous ses apparences de bouffon. Il est impliqué dans toutes ces affaires et bien d’autres, dont celle des emplois fictifs à la mairie de Paris quand il en était le numéro 1, mais notamment pour avoir stopé le paiement des commissions aux Pakistanais en 1995 pour le contrat Agusta. Il a été accusé la semaine dernière par son ex-conseiller Robert Bourgi d’avoir reçu de ses mains, dans des valises, plus de 20 millions de dollars en liquide versés par des présidents africains. A entendre !

Dominique de Villepin. Ce barbon amateur de belles lettres, surtout quand elles ont la rondeur de ses lectrices, comptait les billets un à un quand ils arrivaient dans les valises de Bourgi. A entendre !

Et Giscard, qui n’a rien du d’Estaing acheté par ses pères ? Qu’en est-il des valises de Bourgi, sans parler des diamants offerts par Bokassa ? A entendre !

Quant au récipiendaire de la Francisque sous Vichy, FM, il n’est plus là pour répondre sur les valises de Bourgi. Mais on attend davantage de cet avocat, pour l’histoire …sur la corruption de cette république que voulait abattre le futur président socialiste avant d’en endosser l’habit, même si petit pour un ex-collabo reconverti en prisonnier des Allemands.