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QUÉBEC :  UN ORGANISME VEUT AIDER LES FEMMES DE DJIHADISTES, À RETOURNER AU CANADA. (Ftouh Souhail / 30 novembre 2017)

" Depuis quelques semaines, un organisme de la PROVINCE DU QUÉBEC CHERCHE À FACILITER le RETOUR AU PAYS des jeunes femmes MUSULMANES MARIÉES à des FONDAMENTALISTES de L'ÉTAT ISLAMIQUE, la plus TERRIFIANTE des ORGANISATIONS ARMÉES. .

" Selon les informations du CENTRE de PRÉVENTION de la RADICALISATION menant à la VIOLENCE (CPRMV) basé à Montréal, toutes ces femmes « SONT BLOQUÉES AU MOYEN-ORIENT ».

Avant que l’EI ne perde la quasi-totalité de son territoire et que beaucoup de ses terroristes soient tués, nombre de djihadistes musulmans ont eu le temps de se marier et de fonder des familles avec des JEUNES CANADIENNES MUSULMANES.

Les proches de ces jeunes musulmanes, qui ont fondé des familles avec des éléments du groupe armé sunnite en Syrie et en Irak, espèrent que leurs filles pourront revenir au Canada, maintenant que le groupe terroriste semble s’être effondré.

Les enfants des recrues féminines du djihad veulent notamment devenir canadiens – évidemment !

Certaines de ces femmes salafistes et wahhabites sont mariées avec des DIRIGEANTS de l’EI. Leurs maris ont dirigé la guérilla et les guerres éclair.  Ils ont aussi un savoir-faire en termes d’organisation, de fabrication d’explosifs, de techniques de clandestinité et des connaissances des techniques d’espionnage et bien entendu de maniement des armes.

Ces femmes, qui ont surtout accompagné les MARTYRS sur le plan affectif et sexuel, souhaitent bien entendu revenir au Canada plutôt que rester en Irak ou en Syrie.  Elles pourraient ainsi toucher des ALLOCATIONS et BÉNÉFICIER des PROGRAMMES des SUBVENTIONS CANADIENNES.

Le pire est que cet ORGANISME PROVINCIAL du QUÉBEC, qui milite pour le RETOUR de ces aventurières du djihad, est FINANCÉ PAR LES CONTRIBUABLES CANADIENS sans que leur AVIS leur soit demandé, alors que c’est leur argent.  Le CPRMV a été créé en mars 2015 par la VILLE DE MONTRÉAL avec  L'APPUI du GOUVERNEMENT DU QUÉBEC.

Ce même Centre, qui est dirigé par des intellectuels gauchistes québécois, refuse d’écouter les voix des Canadiens qui mettent en garde contre la  DANGEROSITÉ  de  ces  FEMMES qui viennent des RANGS des    R A D I C A U X    I S L A M I S T E S   et qui ont ENGENDRÉ les   S O L D A T S  de DEMAIN.

Le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) estime à 176 le nombre de Canadiens qui se sont joints à un groupe terroriste.  Le grand défi pour les autorités canadiennes est de trier les SYMPATHISANTS de l’EI qui reviennent au pays – car ÉVIDEMMENT   aucun  NE  DIRA  qu’il  a  DÉCAPITÉ  ou  CRUCIFIÉ  ou  BRÛLÉ  VIFS  DES C H R É T I E N S.

Le Canada, qui ne dispose d’aucune EXPÉRIENCE dans le DOMAINE de la PRÉVENTION contre la vision sociale des djihadistes, craint des ATTAQUES-SURPRISES contre les CIVILS et des ATTENTATS à la VOITURE PIÉGÉE en cas de RETOUR DE CES FEMMES MARIÉES aux TERRORISTES. Une situation qui rendra difficile toute tentative d’infiltration par les services secrets canadiens.

Certains  ÉLÉMENTS  REVENUS  en  EUROPE ont  déjà  PARTICIPÉ  AUX  ATTAQUES  ISLAMISTES de  NOVEMBRE 2015  à  PARIS  et de MAI 2014 et  MARS 2016 à BRUXELLES.

Dans les années 90, L' ALGÉRIE a fait face à la VIOLENCE de ses PROPRES DJIHADISTES revenus d’Afghanistan. Ils ont commis MASSACRES et TUERIES DE CIVILS à grande échelle à partir de la moitié des années 90.

Mais la  F O L I E  POLITIQUEMENT CORRECTE du MOMENT et L'ISLAMOPHILIE AMBIANTE fait qu’aucune EXPÉRIENCE n'est PRISE EN COMPTE. "