Gaz de schiste : non merci !

Ceci est un exemple d'espèces protégées en France.
http://www.uicn.fr/IMG/pdf/Liste_rouge_France_Orchidees_de_metropole.pdf
Les associations peuvent contribuer à l'étude des risques environnementaux liés aux méthodes de prospection des gaz de schiste. Je pense au débroussaillage, à la création d'accès pour des machines lourdes, à l'occupation d'espaces de travail. Les ornitologues peuvent répertorier les espèces d'oiseaux qu'une telle activité perturberait en fonction des lieux et des périodes.
A la carte géographique des permis d'exploration en Languedoc-Roussillon on peut superposer une carte de la biodiversité protégée et mesurer une première série d'impacts environnementaux directs.
L'étude lancée par le ministère sera-t-elle exhaustive?
Les spéléologues aussi peuvent apporter leur concours par leur connaissance des grottes de la région dont certaines mériteraient un classement patrimonial.