DSK Soutien Pétition pour le soutenir

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#3058 qu'as tu fait pour l'entité sionniste aujourd'hui, strauss?

2011-09-08 19:04

#3057: - SOUTIEN A DSK PLUS QUE JAMAIS 

 Mais le célèbre créateur ne s'arrête pas là. Connu pour ne pas faire de langue de bois, Karl Lagerfeld en est venu à donner son avis sur Dominique Strauss-Kahn, l'homme : "Il a un charme incroyable. C'est un type réellement charmant. Il est drôle, c'est un homme bien. C'est un type très doux -du moment que vous n'êtes pas une femme-. C'est le problème"

Réponses


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#3069 Re: qu'as tu fait pour l'entité sionniste aujourd'hui, strauss?

2011-09-08 21:11:04

#3058: - qu'as tu fait pour l'entité sionniste aujourd'hui, strauss? 

 Et le malade, un commentaire trouvez sur le net, j'ai adoré !!!

"Pauvre minable vieille chose qui se fait sauter dans les bureaux et qui en plus le raconte à la presse. Vous n'êtes plus en posture de juger et de vouloir quoi que ce soit. Le culot de la vieille bique qui dit je "j'étais la maitresse de DSK". Si il est vrai qu'il vous a culbutée sur votre insistance sûrement !! vous n'avez été qu'un coup et sûrement un mauvais coup. A votre âge déballer vos histoires de fesses!!! Sans aucune pudeur, Vous méritez mon profond mépris. Non vous n'avez plus le droit de quoi que ce soit si ce n'est celui de fermer votre vielle bouche d'égout et de refermer vos cuisses. Vous auriez du y penser bien avant à être une mère. Votre fille ne serait pas en quête de reconnaissance si elle avait eu une place Plus importante dans votre vie. Mansouret vous êtes une mauvaise mère, une mauvaise femme et un mauvais coup. Faites vous oublier et fermez la."


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#3070 Re: qu'as tu fait pour l'entité sionniste aujourd'hui, strauss?

2011-09-08 21:12:45

#3058: - qu'as tu fait pour l'entité sionniste aujourd'hui, strauss? 

 Message au propriétaire d'un QI d'huitre !!!

TRIBUNE
Strauss-Kahn est innocent, point barre !
Par Emmanuel Daoud | Avocat au Barreau de Paris | 25/08/2011 | 16H28
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Le procureur Cyrus Vance a renoncé à poursuivre Dominique Strauss-Kahn faute de preuves suffisantes pour emporter la conviction d'un jury et en raison notamment des mensonges réitérés de la plaignante. Le juge a pris acte. Fin de la procédure.
Le candide aurait pu croire que l'innocence de DSK ne serait plus, dès lors, remise en cause après un processus judiciaire et médiatique des plus éprouvants. En effet, il ne s'agit plus seulement de respecter la présomption d'innocence mais bien de constater que la justice américaine a dit le fait et le droit : DSK est innocent.

Force est de constater qu'il n'en est rien : les commentateurs, nombreux, se lamentent perfidement sur le thème : « Nous ne saurons jamais ce qui s'est réellement passé dans la suite de l'hôtel Sofitel… »

Ils sous-entendent ainsi que le doute subsisterait toujours ce qui, a contrario, veut dire pour les lecteurs et les auditeurs, que DSK aurait, peut-être, réellement commis les infractions reprochées.

De plus, des associations féministes critiquent sévèrement la décision du procureur et du juge américains, la considérant comme infondée et inique au nom de la protection légitime et nécessaire des femmes victimes de viol.

Ne pas fouler au pied une décision de justice
Rappelons donc quelques faits et évidences au-delà des particularismes du système judiciaire américain, afin de restituer toute sa portée, si besoin était, à la décision du tribunal de Manhattan :

DSK a été interpelé sur la base des accusations de Nafissatou Diallo ;
son incarcération puis son assignation à résidence ont été décidées pour prévenir tout risque de fuite ;
selon le bureau du procureur, le dossier médico-légal et les expertises techniques et scientifiques n'ont pas établi que la relation sexuelle avait été imposée ;
le bureau du procureur, et lui seul, a mis en évidence les mensonges répétés de la plaignante ;
le bureau du procureur, et lui seul, est arrivé à la conclusion que la preuve de la culpabilité de DSK n'était pas apportée ;
la défense de DSK n'a pas eu à produire les pièces et à développer la moindre argumentation puisque le débat contradictoire au fond n'a pas eu lieu ;
il ressort de ce qui précède que la mise en accusation et la « mise en innocence » de DSK sont le produit des seules investigations du bureau du procureur dont on peut penser qu'il n'a pas ménagé ses efforts pour renvoyer DSK devant le jury après avoir requis et obtenu l'incarcération du patron du FMI ;
certes, il n'y a pas de « bonne ou de mauvaise victime » comme se plaisent à le rappeler, à juste titre, les associations féministes. Il n'en reste pas moins que dans tout processus judiciaire, la crédibilité du plaignant (comme celle du mis en cause) est un élément essentiel d'appréciation de la solidité ou non d'un dossier d'accusation, aux Etats-Unis comme en France.
C'est pourquoi il ne peut être accepté la rhétorique simpliste maintes fois entendue depuis 24 heures : « puisqu'il est difficile de porter plainte lorsque l'on a été victime d'une agression sexuelle » (ce qui relève de l'évidence), « toute femme qui entreprend cette démarche dit forcément la vérité… ». Notre histoire et actualité judiciaire regorgent d'exemples contraires à foison.

La remise en cause de l'innocence de DSK après la décision prononcée ce mardi est insupportable à tout juriste et devrait l'être pour tout citoyen. Colporter le ragot, le doute, le soupçon c'est, au-delà du cas de DSK, fouler au pied toutes les décisions de justice qui ont consacré et protégé un innocent.