Non au parc éolien sur le plateau remarquable d'Innimond

#4000: -  

 vandaliser nos banderoles ne sert à rien ! il faut les laisser en l'état, de toutes façons les gens qui viennent à innimont connaissent notre problème des éoliennes.

on pourrait  rajouter une ou deux banderoles ? La parole est d'argent, le silence est d'or.

Ces mauvaises personnes sont toutes contentes de nous voir énervé.

pas énervés, déterminés.

#4000: -  

 c est lui qui a mis le bazar avec son fichu projet.. il serait peut etre judicieux de sa part qu il mouille un peu sa chemise pour en terminer...

Eric Nodet, le maire, renvoie la
balle aux antis : « La division,
ils la génèrent. Les “pour” ne
sont pas du tout vindicatifs,
d’ailleurs, ils n’en parlent
plus. »

La personne qui a vandalisé les banderoles est un (e)
imbécile. Je condamnerai cet acte au prochain conseil.

"Nous sommes tous pris en otage"

Le « non » au dossier, exprimé
en février par une majorité
d’habitants, était censé faire
retomber la pression. Raté. Le
torchon brûle toujours.

"Rien ne nous indique
que le projet est arrêté »

Marylène Lapalus, présidente de
l’association d’opposants au projet

Après deux ans de sommeil, le
dossier est ressorti d’un tiroir fin
juin 2014.

Le début de la polémique,
car juridiquement, la promesse
vaut bail et lie la commune

Sur le fond du dossier, il reste muet face à deux questions majeures :
pourquoi l’avocat de la commune défend-il toujours la
validité de la promesse de bail (à EDF Énergies nouvelles,
NDLR) devant le tribunal administratif, malgré
le vote de rejet de la population lors de la consultation
publique du 8 février ? Et qu’en est-il de notre
demande de non-reconduction de cette promesse
au-delà de 2017, formulée au conseil municipal ? En
l’absence de documents écrits, rien ne nous indique
aujourd’hui que le projet est définitivement arrêté.

De l’apaisement, ily en a eu, avec le référendum (pour rappel c'est une consultation et non un référendum)
ou la clause suspensive »,
estime l’élu.

« Mais rien n’y a f a i t .

I l f audra du temps .
L’ambiance est pourrie pour
des années. »

Le 8 février 2015, le verdict populaire
tombe : sur 118 électeurs,
59 votent contre, 40 pour. Le
conseil municipal émet une
délibération à l’unanimité, suivant
cet avis et refusant une
servitude de passage essentielle

il dit que la Commune doit se défense car elle est attaquée, sinon elle paiera

"doit" : On n'est pas obligé de se défendre lorsqu'il y a intéret à perdre  (par exemple : perdre la propriété d'un terrain pollué)

 "elle paiera" : CORRECTION  c'est la RC personnelle de Nodet qui est surtout mise en cause, si le bail est annulé en retenant sa faute personnelle, ce sera lui qui paiera et non la Commune

clair il se protège lui plus que la commune

"Pourquoi alors l’expression est-elle agaçante ? Parce qu’elle dévoie, dénature le conflit. Nous ne sommes plus, en effet, dans l’Antiquité où livrer des otages était une pratique guerrière courante ; en revanche les prises d’otages sont une pratique de malfrats (pilleurs de banques pour se protéger de la police) ou d’Etats-voyous (on se rappelle l’Irak de la première guerre du Golfe et les «boucliers humains» de Saddam ou les Serbes de Bosnie attachant quelques prisonniers faits aux troupes occidentales sur des objectifs militaires pour en empêcher le bombardement). Dire que les professeurs ou les cheminots prennent les usagers en otages, c’est en faire des malfrats, des gangsters, faire du droit de grève un crime, de la vie sociale un guet-apens. L’expression prendre en otage fait précisément ce qu’elle dénonce : c’est une pratique de malfrats."

extrait Libération 24 Philo

rien à voir avec une prise d'otages, juste une signature pour lancer un méga-projet sur des terrains communaux sans information ni consultation des habitants (2012)

avant c'était je décide, je peux tout arrêter (car soit-disant « promesse de bail ne vaut pas bail »)

ensuite ça été le conseil décide, il peut tout arrêter (car soit-disant « le conseil est encore décisionnaire » ou le fameux « on a les clés du camion »)

ensuite ça été vous décidez , vous pouvez tout arrêter (car soit-disant « le vote des habitants peut stopper le projet avant même la décision du préfet)

et maintenant c'est le préfet qui décide, il peut tout arrêter (« la décision du préfet peut stopper le projet ») on sait que le préfet peut dire non mais on sait aussi que EDF énergie pourra revenir ou attaquer la décision du préfet !!

il prend ses électeurs pour qui ? Je vous laisse répondre vous-même sinon mon message sera supprimé …

Toutes les personnes qui font l'effort de se renseigner un peu plus sur l'éolien industriel changent d'avis :

Comme la grande majorité des français, j'étais a priori favorable aux éoliennes. Mon opinion ne reposait alors que sur une intuition : Du vent, une hélice, un alternateur, de l'électricité... Quoi de plus naturel en somme ?

C'est uniquement quand la Mairie de mon village a présenté publiquement son projet de zone éolienne industrielle discrètement initié depuis plusde 2 ans et ayant déjà fait l'objet de plusieurs décisions votées par le Conseil Municipal, que j'ai tenu à me renseigner d'avantage sur le sujet. De formation scientifique et travaillant depuis plus de 10 ans dans l'environnement, j'ai toujours tenté d'obtenir des informations au plus près de la source pour essayer de comprendre ce qu'est réellement l'éolien industriel dans ses dimensions environnementales, sociales et économiques, les 3 piliers du Développement Durable. Ce mémoire est une synthèse des données que j'ai compilées et analysées depuis plus d'une année. Père de 2 enfants, je suis maintenant convaincu que l'éolien industriel n'est sûrement pas la première, ni la seconde chose à faire pour espérer leur léguer une planète où les conditions de vie seraient aussi agréables que celles que nous connaissons actuellement. Je dédie donc ce mémoire à tous ceux qui croient encore dans la Vérité et la Démocratie pour défendre la beauté de notre Pays et surtout pour contribuer à la préservation de notre Terre.

Marc LEFRANC préface de son mémoire L'éolien industriel, une imposture écologique, un scandale financier

#4023: rien n'y fait, il continue -  

 Ne contunuons pas à nous énerver. Nous n'avancerons pas mieux. Nous avons tout fait pour arrêter, maintenant attendons la suite - suivant la réponse nous nous mobiliserons, même si il faut fermer les 2 routes pour accéder au village. Nous en patirons tous mais nous ferons parler de nous pour aboutir à ce que nous voulons. Adieu EDF.... éoliennes...kool... Laissons reposer le village - car il sera très tendu encore des années... nous n'oublierons pas comme cela. Il y a toujours eu des clans à innimont et une ambiance froide, et hypocrite. Nous ne ressemblons pas à ordonnaz. Maurice a essayé de faire quelque chose pour animer, avant de prendre sa retraite. Le résultat a été très superficiel. On faisait croire...