Contre la casse du collège public au centre ville de Reims

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Claude FAYNOT
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#26

2011-02-14 10:28

Une lamentable politique de dénigrement de l'enseignement se développe, la démagogie continue et nous arriverons bientôt au but recherché par ces décideurs : que seuls leurs enfants sachent lire ( car ils auront encore, eux, des conditions acceptables pour apprendre !) et puissent prendre les situations intéressantes.
miloud tari
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#27

2011-02-14 10:43

pour un enseignement de qualité
Maryvonne LELOUP
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#28

2011-02-14 12:21

La casse du collège public a lieu dans tous les collèges
alain le berre
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#29 le combat continue

2011-02-14 13:20

#23: le porc de Marseille - ge fé pleins de fôtes et ge ne daun maime pa mon nom

fo arrèter avec le porc de Marseille, on ne sait plus si c'est du lard ou du cochon

Phil KELLER
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#30

2011-02-14 13:31

- 50% de candidats au CAPES...la messe est dite !!! Quand comprendront-ils ?

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#31 Suggestion

2011-02-14 13:31

C'est bientot les cantonales non ? il vous reste un mois messieurs et mesdames les politiques pour faire un point exhaustif de la situation !!
Merci
françoise rousse
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#32

2011-02-14 14:26

pauvre Education nationnale!courage à nos collègues méritants...
François DINET
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#33 gestion comptable des services publiques = suppression de postes

2011-02-14 14:39

Voici maintenant des années que le service public en général et le service public de l'Education Nationale en particulier sont attaqués par nos gouvernants.
Pour rendre acceptable ces attaques par l'opinion public et surtout ceux qui votent, il suffit de lui attribuer une grande partie des maux de notre société, d'en faire le bouc émissaire d'une grande partie de nos problèmes. Ne dit-on pas que pour tuer son chien, on le dit enragé !
Notre société souffre avant tout d'une plaie ouverte à vif qu'est le chômage. Quoi de plus facile d'en accuser un système scolaire en le jugeant inadapté. Il faut garder à l'esprit que l'enseignement a pour objectif de former des futurs citoyens : des femmes et des hommes responsables.
Chacun se croit expert en la matière en partant de son expérience d'élève, ce qui est faux bien entendu : chacun des nouveaux enseignants nommé sur un poste de titulaire depuis cette rentrée peuvent en témoigner.
Alors que l'on en consomme chaque jour, sais-t-on fabriquer le pain ? Evidemment non!
Personne ne détient la vérité mais ce qui est sûre c'est que c'est encore le lampiste qui payera les pots cassés, par là, je veux parler de l'élève moyen moyen moins qui n'aura pas chez lui un environnement culturellement favorable et qui ne pourra plus compter que sur lui même pour espérer acquérir les connaissances qui lui permettront d'évoluer et de grandir dans un monde de plus en plus complexe.
Valérie COULY
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#34

2011-02-14 14:48

Diffile de pouvoir bien travailler et se concentrer dans une classe de 32 enfants. Ilfaut arrêter l'escalade, sinon les enfants vont finir dans des classes de 40 élèves.
alain PICARD
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#35 mort du service public

2011-02-14 14:58

partout les suppressions de poste et surtout le sur effectif des classes alors que l'on nous demande de faire un travail différencier et d'accueillir de plus en plus d'élèves handicapés est incompatible avec notre mission de service public et est organisé pour détruire notre système.
FABRICE OSSELAER
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#36 pétition

2011-02-14 15:11

D'accord contre ce pouvoir qui dénigre l'enseignement.
GENEVIEVE ZERR FRECHON
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#37 Contre la casse des classes spécifiques

2011-02-14 16:10

Si la classe de Cham/Chad est supprimée, nos enfants n'auront plus la possibilité de suivre des enseignements spécialisés, et dans ce cas apprendre la musique ou la danse. Car les horaires ne seront plus aménagés et donc adaptés au rythme et travail des enfants.
L'enseignement du conservatoire en plus des horaires traditionnels, ne permettra plus aux enfants de faire tout de front.
Car les journées sont déjà très chargés et le conservatoire très exigeant au niveau réussite des enfants.
Cordialement,
Geneviève ZERR
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#38 Re: au travail

2011-02-14 17:27

#6: Au travail - au travail

Quel est le lien entre les suppressions de postes dans l'éducation nationale et le "porc" de Marseille ? Je ne sais pas si les collègues de l'enseignement privé travaillent plus (même statut que les enseignants du public et rémunération par l'Etat donc par l'impôt).

Je connaissais le port de Marseille mais je ne savais pas que la citée phocéenne était passée maître dans le domaine de l'élevage porcin.

Odile Guri
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#39

2011-02-14 18:53

Arrêtons de casser l'enseignement public au profit de l'enseignement privé.

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#40

2011-02-14 21:41

suggerer la suppression
Christian Montémont
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#41 Pétition

2011-02-14 21:49

Comment brader les services publics aux marchands privés ? Il suffit de mettre l'Etat en faillite, en creusant les déficits... Voici l'action plannifiée du gouvernement actuel. Devons-nous accepter cela ? Jusqu'où notre passivité ira-t-elle ? Quand saurons-nous réagir ? L'éducation n'est-elle pas une trop belle chose pour la laisser devenir un "produit" ? Qu'en pensez-vous ?
Amicalement à toutes & tous.
Marie-Colette SECONDE DETHUNE
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#42 GARDEZ LES CHAD ET CHAM TELLES QU'ELLES SONT!

2011-02-15 00:37

Pour que soient maintenues les classes de CHAD et de CHAM telles qu'elles existent, car les jeunes s'y trouvent très bien, y progressent énormément et peuvent conserver un équilibre de vie entre une activité intense au conservatoire (environ 8h hebdonadaires en CHAD) et une scolarité "normale" avec des temps de sommeil corrects. Il n'est pas envisageable que les élèves de ce type de classes soient dispersés dans diverses classes puisqu'ils n'auront plus alors d'équilibre dans les horaires de cours et devront alors laisser tomber l'activité artistique qui les motive au quotidien!Ne brisons pas les rêves et le courage des jeunes qui s'engagent dans des domaines artistiques difficiles! Aidons-les, continuons à les porter vers leur réussite scolaire et artistique... Ne cassez pas les CHAD ni les CHAM! Ne gâchez pas les carrières des professeurs qui les guident et les entourent, ne supprimez pas de postes de professeurs de musique ou de danse!
Yauplait
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#43 Continuez à faire greve !

2011-02-15 00:39

Il y a des établissements privés qui recevront bien nos enfants. Les enseignants leur donneront le gout du travail bien fait. Eux au moins ne font pas gréve avant et après les vacances pour prolonger leurs vacances. Vous aurez encore moins d'élèves à la rentrée prochaine et des postes dans le public seront supprimés. Vous creusez votre tombe !
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#44 Re: au travail

2011-02-15 07:51

#6: Au travail - au travail 

 SAVEZ VOUS QUE LES PROFESSEURS DANS LE PRIVE SOUS CONTRAT SONT FONCTIONNAIRES COMME LES AUTRES ET QUE VOUS PAYEZ ALORS QUE L'ETAT, LES DEPARTEMENTS, LES REGIONS ET LES COMMUNES LES SUBVENTIONNENT AUSSI ET A HAUTEUR DU PUBLIC. Ils sélectionnent les élèves, ce que le public ne peut pas faire, seule vraie différence. COMME VOUS PAYEZ VOUS TROUVER LE SERVICE MEILLEUR. QUELLE NAIVETE.

jules
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#45 Retirons nos enfants du public

2011-02-15 09:23

Moi, je suis d'accord avec yauplait, c'est inutile de mettre nos enfants dans les mains de personnes qui donnent le mauvais exemple. Je lance donc une pétition contre cet enseignement laxiste et corrompus par des extremistes radicaux qui pourrissent l'Education Nationale.

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#46 pétition

2011-02-15 12:10

Les élèves français ne pratiquent pas les langues étrangères et ce projet ne fait qu'
aggraver ces lacunes. Le ministre sait-il que le classement international a également fait reculer la France dans le domaine des mathématiques?
Cette casse de l'enseignement sacrifie une génération, sous prétexte d'économie budgétaire à court terme, mais comment ces futurs ignorants pourront-ils élever la compétitivité des entreprises françaises au niveau de leurs concurrents asiatiques?
Jean-François VEYSSET
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#47 mammouth

2011-02-15 12:56

Pour être trés clair
1) pourquoi un enseignant resterait-il sur le même poste AD VITAM ETERNAM?
c'est une bonne chose de "bouger" changer d'environnement ..voire même de pays
on voit trop de profs "mesquins" sans esprit de renouveau cramponnés à leur petite situation!!!!
2) DEPUIS TROP LONGTEMPS LES SYNDICATS D'ENSEIGNANTS SCLEROSENT LE DEBAT (SNES EN PARTICULIER) PAR LEUR CONSERVATISME et ne sont plus crédibles.
3) qu'est ce qui fait le plus peur à cette personne ? d'avoir à changer de collége,de ville peut-être ou même de région (et alors? cela me parait SAINT de bouger un peu) ou l'augmentation du nombre d'élèves qui n'est pas obligatoirement prouvée mais qui peut servir d'argument bien sur.
4)pour avoir exercé pendant 40 ans dans des lieux divers (et pour mon plus grand bien pour mon physique et mon moral) j'ai vu un systême sclérosé et mesquins qui consiste à s'agripper à de petits avantages en refusant d'admettre les GRANDS PRIVILEGES que comporte la fonction d'enseignant.
5)d'ailleurs l'état d'esprit est tel que les élèves des IUFM savent développer leur revendications, étaler leurs "inquiétudes" sur leur propre "confort" avant même d'avoir enseigné.

6)ET J'AURAIS BIEN SUR BEAUCOUP A DIRE ENCORE
jean Louis DELAGE
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#48

2011-02-15 13:27

Cette casse programmée de l'Education Nationale est inadmissible pour l'avenir de la France.
Claudine VASSEUR
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#49 Arretez le linchage de l'Education Nationale !

2011-02-15 13:52

Il faut faire cesser, par tous les moyens de lyncher l'éducation nationale ! on voit bien qu'à tous les niveaux tout est fait pour tuer cette machine au profit du "privé" ! On est bientôt au niveau de 1789......ça va clacher

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#50

2011-02-15 18:47

Il est clair que le système éducatif est défaillant à en croire les commentaires des détracteurs du service public... Leurs lacunes intellectuelles sont uniquement imputables aux fainéants de gauchistes qui étaient sensés les éduquer dans leurs jeunes années.
Pour en revenir au vrai sujet de cette pétition, l'enjeu est simple : la qualité de l'enseignement est inversement proportionnelle au nombre d'élèves par classe. Imaginons un instant un professeur des écoles apprenant à lire à une classe de 40 élèves... C'est clairement impossible, et bon nombre d'entre eux seraient laissés pour compte. Ne serait-ce qu'un, c'est un de trop.
Ne pas s'indigner devant ce risque, c'est fermer les yeux sur la possibilité de laisser sortir du système éducatif des élèves sans véritable bagage intellectuel et culturel, inaptes à exercer leur citoyenneté et à comprendre les enjeux du monde contemporain. Ainsi, assurer la reproduction sociale de leur groupe expliquerait peut-être les pseudo-opinions des "détracteurs" précités.
CQFD