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#6801 INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ânes !

2011-10-07 20:08

#6799: - Re: Re: Re: INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ânes ! 

 

#6790: - Re: Re: Re: INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ânes ! 

 


















DSK veut un système éducatif qui donne plus à ceux qui ont moins


Pour Dominique Strauss-Kahn, au-delà de l’égalité formelle des droits, c’est l’égalité réelle des chances qu’il faut mettre en œuvre, et d’abord là où se forment les inégalités, les inégalités de départ ou de destin. Le premier domaine où l’effort doit être porté est donc naturellement l’éducation « qui conditionne les trajectoires professionnelles et façonne les destins ».

http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/02/pourquoicestvrai.png...

 

Renouveler l’approche de l’égalité des chances que doit produire le système éducatif

Dominique Strauss-Kahn a fait une analyse objective d’un système éducatif qui ne remplit plus ses promesses, d’ascension sociale pour les populations les plus défavorisées et de transmission du capital humain et culturel – leur seul capital – pour les classes intermédiaires : « l’école républicaine ne permet pas de se battre à armes égales : à enseignement identique, les enfants plus favorisés bénéficient de facto de cours de perfectionnement à la maison. A l’autre extrémité, les enfants continueront à n’hériter de rien » (1).

Il constate la généralisation du désenchantement qui traverse la société vis-vis de son système éducatif  et l’explique par l’écart, avec le temps, entre le principe, l’accès universel à l’école pour tous, et la pratique, dans le cadre de la massification de l’enseignement, qui a laissé se développer des inégalités que les concepteurs de l’école publique n’avait pas imaginées, comme c’est le cas pour l’ensemble des politiques publiques issues de l’État-providence :

« Trop souvent, des droits d’apparence universelle deviennent contre-productifs : ils s’individualisent au bénéfice des plus chanceux ou des mieux nantis. Ainsi de la formation professionnelle : alors qu’elle devrait matérialiser la seconde chance des recalés de l’école républicaine, la voie de promotion sociale ou du moins l’adaptation de tous aux nouvelles techniques, elle est finalement utilisée par les hommes plutôt que par les femmes, par les jeunes plutôt que par les salariés plus expérimentés, par les diplômés plutôt que par les travailleurs non qualifiés » (2).

Aussi, avec la même grille d’analyse pour l’ensemble des politiques publiques, Dominique Strauss-Kahn fixe au service public de l’enseignement et de l’éducation comme principal objectif  de « donner plus de capital public » à ceux qui ont le moins de capital culturel, économique et social.

« Aujourd’hui, trois secteurs se détachent et appellent une action déterminée en faveur de l’égalité des chances : l’université qui engendre beaucoup de frustrations ; l’école et le collège où il faut donner plus à ceux qui en ont besoin ; la petite enfance enfin, parce que c’est l’âge où s’acquièrent des facultés décisives pour les destins individuels ».

Donner les moyens à l’école d’aider ceux qui en ont le plus besoin

Aussi, DSK a fait de la question de la petite enfance une priorité programmatique. Pour lui, les inégalités entre les enfants en âge d’aller à la crèche sont massives. Certains sont extrêmement sollicités au plan intellectuel quand d’autres sont « laissés à l’abandon devant la télévision ». Il souhaite ainsi la généralisation d’un service public de la petite enfance pour que, entre zéro et six ans, tous les enfants puissent développer leur aptitude à apprendre.

Le principe républicain veut que chaque élève reçoive les mêmes enseignements. C’est ce que DSK appelle, l’égalité formelle en matière d’éducation (3). Or, les inégalités de départ, qui sont liées au lieu d’habitation et de la situation sociale des parents, ne donnent pas à tous les enfants les mêmes chances au départ.

C’est pourquoi DSK a défendu le fait qu’en vertu d’une égalité réelle, il faut concentrer les moyens sur les élèves qui en ont besoin. « Une concentration des moyens sur les territoires défavorisés doit être mise en œuvre. Au-delà, si un enfant besoin de 30 heures pour assimiler son cours de mathématiques,au lieu des 20 théoriquement prévues au programme, l’école doit être capable de les lui fournir » (4). Ainsi, faisant le constat qu’ « un élève en ZEP ne bénéficie aujourd’hui que de 1 % de moyens supplémentaires par rapport à un élève hors ZEP » DSK a notamment proposé que les élèves de ZEP ne soient que 15 par classe.

 

Démocratiser l’enseignement secondaire et l’enseignement supérieur qui nécessite un « effort massif »

L’enseignement secondaire est dans une situation paradoxale. Aujourd’hui alors que chaque année quasiment toute une classe d’âge obtienne le bac, beaucoup de filières sont peu démocratisées. Ainsi, quand il était maire de Sarcelle, il s’est battu avec les enseignants pour que la classe préparatoire du lycée ne soit pas fermée (5).

DSK a soutenu que « le problème n’était pas d’extraire quelques élèves pour les envoyer dans les lycées parisiens, mais de permettre au plus grand nombre d’avoir une chance d’intégrer ces grandes écoles. Pour cela, c’est dans les banlieues qu’il faut développer des prépas » (6).

Par ailleurs, il a défendu l’idée que l’État devait investir plus fortement dans son enseignement supérieur à l’image de pays où le taux d’universitaires est particulièrement élevé (7).

En effet, pour lui, la problématique est simple : « nous avons démocratisé le baccalauréat, il faut maintenant démocratiser l’enseignement supérieur. Ce n’est pas le cas aujourd’hui, où nombre d’étudiants sont orientés vers des filières démonétisées qui sont autant d’impasses. Ce sont tout particulièrement certaines filières (les sciences, le droit, le système des « grandes écoles », qu’il faut démocratiser » (8).

Il constate en effet que l’écart, par exemple, avec les États-Unis est un handicap pour l’enseignement supérieur en France : en proportion, les États-Unis comptent 50 % d’universitaires de plus que la moyenne des pays européens. Or « Cet écart trouve son origine dans la différence des efforts financiers respectivement consacrés à l’enseignement supérieur. Les États-Unis investissent 3 % de leur richesse nationale dans leurs universités, contre 1,4 % en Europe. Même le financement public est supérieur aux États-Unis : 1,4 % contre 1,1 % du PIB en Europe » (9).

Sources :

1 – Pour l’égalité réelle,  2004 p.80
2 – Pour l’égalité réelle, 2004 p.82
3 – Ibid
4 – Ibid
5 – 365 jours, DSK, 2006, p.237
6 – DSK 2007, Changer la gauche pour changer la France. Elu en banlieue.
7 – Pour l’égalité réelle, DSK/Finchelstein, 2004 p.81
8 – Pour l’égalité réelle, 2004 p.82
9 – ibid


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#6802 Re: INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ânes !

2011-10-07 20:09

#6801: - INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ânes ! 

 

#6790: - Re: Re: Re: INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ânes ! 

 


















DSK veut un système éducatif qui donne plus à ceux qui ont moins


Pour Dominique Strauss-Kahn, au-delà de l’égalité formelle des droits, c’est l’égalité réelle des chances qu’il faut mettre en œuvre, et d’abord là où se forment les inégalités, les inégalités de départ ou de destin. Le premier domaine où l’effort doit être porté est donc naturellement l’éducation « qui conditionne les trajectoires professionnelles et façonne les destins ».

http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/02/pourquoicestvrai.png...

 

Renouveler l’approche de l’égalité des chances que doit produire le système éducatif

Dominique Strauss-Kahn a fait une analyse objective d’un système éducatif qui ne remplit plus ses promesses, d’ascension sociale pour les populations les plus défavorisées et de transmission du capital humain et culturel – leur seul capital – pour les classes intermédiaires : « l’école républicaine ne permet pas de se battre à armes égales : à enseignement identique, les enfants plus favorisés bénéficient de facto de cours de perfectionnement à la maison. A l’autre extrémité, les enfants continueront à n’hériter de rien » (1).

Il constate la généralisation du désenchantement qui traverse la société vis-vis de son système éducatif  et l’explique par l’écart, avec le temps, entre le principe, l’accès universel à l’école pour tous, et la pratique, dans le cadre de la massification de l’enseignement, qui a laissé se développer des inégalités que les concepteurs de l’école publique n’avait pas imaginées, comme c’est le cas pour l’ensemble des politiques publiques issues de l’État-providence :

« Trop souvent, des droits d’apparence universelle deviennent contre-productifs : ils s’individualisent au bénéfice des plus chanceux ou des mieux nantis. Ainsi de la formation professionnelle : alors qu’elle devrait matérialiser la seconde chance des recalés de l’école républicaine, la voie de promotion sociale ou du moins l’adaptation de tous aux nouvelles techniques, elle est finalement utilisée par les hommes plutôt que par les femmes, par les jeunes plutôt que par les salariés plus expérimentés, par les diplômés plutôt que par les travailleurs non qualifiés » (2).

Aussi, avec la même grille d’analyse pour l’ensemble des politiques publiques, Dominique Strauss-Kahn fixe au service public de l’enseignement et de l’éducation comme principal objectif  de « donner plus de capital public » à ceux qui ont le moins de capital culturel, économique et social.

« Aujourd’hui, trois secteurs se détachent et appellent une action déterminée en faveur de l’égalité des chances : l’université qui engendre beaucoup de frustrations ; l’école et le collège où il faut donner plus à ceux qui en ont besoin ; la petite enfance enfin, parce que c’est l’âge où s’acquièrent des facultés décisives pour les destins individuels ».

Donner les moyens à l’école d’aider ceux qui en ont le plus besoin

Aussi, DSK a fait de la question de la petite enfance une priorité programmatique. Pour lui, les inégalités entre les enfants en âge d’aller à la crèche sont massives. Certains sont extrêmement sollicités au plan intellectuel quand d’autres sont « laissés à l’abandon devant la télévision ». Il souhaite ainsi la généralisation d’un service public de la petite enfance pour que, entre zéro et six ans, tous les enfants puissent développer leur aptitude à apprendre.

Le principe républicain veut que chaque élève reçoive les mêmes enseignements. C’est ce que DSK appelle, l’égalité formelle en matière d’éducation (3). Or, les inégalités de départ, qui sont liées au lieu d’habitation et de la situation sociale des parents, ne donnent pas à tous les enfants les mêmes chances au départ.

C’est pourquoi DSK a défendu le fait qu’en vertu d’une égalité réelle, il faut concentrer les moyens sur les élèves qui en ont besoin. « Une concentration des moyens sur les territoires défavorisés doit être mise en œuvre. Au-delà, si un enfant besoin de 30 heures pour assimiler son cours de mathématiques,au lieu des 20 théoriquement prévues au programme, l’école doit être capable de les lui fournir » (4). Ainsi, faisant le constat qu’ « un élève en ZEP ne bénéficie aujourd’hui que de 1 % de moyens supplémentaires par rapport à un élève hors ZEP » DSK a notamment proposé que les élèves de ZEP ne soient que 15 par classe.

 

Démocratiser l’enseignement secondaire et l’enseignement supérieur qui nécessite un « effort massif »

L’enseignement secondaire est dans une situation paradoxale. Aujourd’hui alors que chaque année quasiment toute une classe d’âge obtienne le bac, beaucoup de filières sont peu démocratisées. Ainsi, quand il était maire de Sarcelle, il s’est battu avec les enseignants pour que la classe préparatoire du lycée ne soit pas fermée (5).

DSK a soutenu que « le problème n’était pas d’extraire quelques élèves pour les envoyer dans les lycées parisiens, mais de permettre au plus grand nombre d’avoir une chance d’intégrer ces grandes écoles. Pour cela, c’est dans les banlieues qu’il faut développer des prépas » (6).

Par ailleurs, il a défendu l’idée que l’État devait investir plus fortement dans son enseignement supérieur à l’image de pays où le taux d’universitaires est particulièrement élevé (7).

En effet, pour lui, la problématique est simple : « nous avons démocratisé le baccalauréat, il faut maintenant démocratiser l’enseignement supérieur. Ce n’est pas le cas aujourd’hui, où nombre d’étudiants sont orientés vers des filières démonétisées qui sont autant d’impasses. Ce sont tout particulièrement certaines filières (les sciences, le droit, le système des « grandes écoles », qu’il faut démocratiser » (8).

Il constate en effet que l’écart, par exemple, avec les États-Unis est un handicap pour l’enseignement supérieur en France : en proportion, les États-Unis comptent 50 % d’universitaires de plus que la moyenne des pays européens. Or « Cet écart trouve son origine dans la différence des efforts financiers respectivement consacrés à l’enseignement supérieur. Les États-Unis investissent 3 % de leur richesse nationale dans leurs universités, contre 1,4 % en Europe. Même le financement public est supérieur aux États-Unis : 1,4 % contre 1,1 % du PIB en Europe » (9).

Sources :

1 – Pour l’égalité réelle,  2004 p.80
2 – Pour l’égalité réelle, 2004 p.82
3 – Ibid
4 – Ibid
5 – 365 jours, DSK, 2006, p.237
6 – DSK 2007, Changer la gauche pour changer la France. Elu en banlieue.
7 – Pour l’égalité réelle, DSK/Finchelstein, 2004 p.81
8 – Pour l’égalité réelle, 2004 p.82
9 – ibid


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#6803 SOUTIEN A DSK

2011-10-07 20:09

#6790: - Re: Re: Re: INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ânes !




























DSK veut un système éducatif qui donne plus à ceux qui ont moins


Pour Dominique Strauss-Kahn, au-delà de l’égalité formelle des droits, c’est l’égalité réelle des chances qu’il faut mettre en œuvre, et d’abord là où se forment les inégalités, les inégalités de départ ou de destin. Le premier domaine où l’effort doit être porté est donc naturellement l’éducation « qui conditionne les trajectoires professionnelles et façonne les destins ».



Renouveler l’approche de l’égalité des chances que doit produire le système éducatif

Dominique Strauss-Kahn a fait une analyse objective d’un système éducatif qui ne remplit plus ses promesses, d’ascension sociale pour les populations les plus défavorisées et de transmission du capital humain et culturel – leur seul capital – pour les classes intermédiaires : « l’école républicaine ne permet pas de se battre à armes égales : à enseignement identique, les enfants plus favorisés bénéficient de facto de cours de perfectionnement à la maison. A l’autre extrémité, les enfants continueront à n’hériter de rien » (1).

Il constate la généralisation du désenchantement qui traverse la société vis-vis de son système éducatif et l’explique par l’écart, avec le temps, entre le principe, l’accès universel à l’école pour tous, et la pratique, dans le cadre de la massification de l’enseignement, qui a laissé se développer des inégalités que les concepteurs de l’école publique n’avait pas imaginées, comme c’est le cas pour l’ensemble des politiques publiques issues de l’État-providence :

« Trop souvent, des droits d’apparence universelle deviennent contre-productifs : ils s’individualisent au bénéfice des plus chanceux ou des mieux nantis. Ainsi de la formation professionnelle : alors qu’elle devrait matérialiser la seconde chance des recalés de l’école républicaine, la voie de promotion sociale ou du moins l’adaptation de tous aux nouvelles techniques, elle est finalement utilisée par les hommes plutôt que par les femmes, par les jeunes plutôt que par les salariés plus expérimentés, par les diplômés plutôt que par les travailleurs non qualifiés » (2).

Aussi, avec la même grille d’analyse pour l’ensemble des politiques publiques, Dominique Strauss-Kahn fixe au service public de l’enseignement et de l’éducation comme principal objectif de « donner plus de capital public » à ceux qui ont le moins de capital culturel, économique et social.

« Aujourd’hui, trois secteurs se détachent et appellent une action déterminée en faveur de l’égalité des chances : l’université qui engendre beaucoup de frustrations ; l’école et le collège où il faut donner plus à ceux qui en ont besoin ; la petite enfance enfin, parce que c’est l’âge où s’acquièrent des facultés décisives pour les destins individuels ».

Donner les moyens à l’école d’aider ceux qui en ont le plus besoin

Aussi, DSK a fait de la question de la petite enfance une priorité programmatique. Pour lui, les inégalités entre les enfants en âge d’aller à la crèche sont massives. Certains sont extrêmement sollicités au plan intellectuel quand d’autres sont « laissés à l’abandon devant la télévision ». Il souhaite ainsi la généralisation d’un service public de la petite enfance pour que, entre zéro et six ans, tous les enfants puissent développer leur aptitude à apprendre.

Le principe républicain veut que chaque élève reçoive les mêmes enseignements. C’est ce que DSK appelle, l’égalité formelle en matière d’éducation (3). Or, les inégalités de départ, qui sont liées au lieu d’habitation et de la situation sociale des parents, ne donnent pas à tous les enfants les mêmes chances au départ.

C’est pourquoi DSK a défendu le fait qu’en vertu d’une égalité réelle, il faut concentrer les moyens sur les élèves qui en ont besoin. « Une concentration des moyens sur les territoires défavorisés doit être mise en œuvre. Au-delà, si un enfant besoin de 30 heures pour assimiler son cours de mathématiques,au lieu des 20 théoriquement prévues au programme, l’école doit être capable de les lui fournir » (4). Ainsi, faisant le constat qu’ « un élève en ZEP ne bénéficie aujourd’hui que de 1 % de moyens supplémentaires par rapport à un élève hors ZEP » DSK a notamment proposé que les élèves de ZEP ne soient que 15 par classe.


Démocratiser l’enseignement secondaire et l’enseignement supérieur qui nécessite un « effort massif »

L’enseignement secondaire est dans une situation paradoxale. Aujourd’hui alors que chaque année quasiment toute une classe d’âge obtienne le bac, beaucoup de filières sont peu démocratisées. Ainsi, quand il était maire de Sarcelle, il s’est battu avec les enseignants pour que la classe préparatoire du lycée ne soit pas fermée (5).

DSK a soutenu que « le problème n’était pas d’extraire quelques élèves pour les envoyer dans les lycées parisiens, mais de permettre au plus grand nombre d’avoir une chance d’intégrer ces grandes écoles. Pour cela, c’est dans les banlieues qu’il faut développer des prépas » (6).

Par ailleurs, il a défendu l’idée que l’État devait investir plus fortement dans son enseignement supérieur à l’image de pays où le taux d’universitaires est particulièrement élevé (7).

En effet, pour lui, la problématique est simple : « nous avons démocratisé le baccalauréat, il faut maintenant démocratiser l’enseignement supérieur. Ce n’est pas le cas aujourd’hui, où nombre d’étudiants sont orientés vers des filières démonétisées qui sont autant d’impasses. Ce sont tout particulièrement certaines filières (les sciences, le droit, le système des « grandes écoles », qu’il faut démocratiser » (8).

Il constate en effet que l’écart, par exemple, avec les États-Unis est un handicap pour l’enseignement supérieur en France : en proportion, les États-Unis comptent 50 % d’universitaires de plus que la moyenne des pays européens. Or « Cet écart trouve son origine dans la différence des efforts financiers respectivement consacrés à l’enseignement supérieur. Les États-Unis investissent 3 % de leur richesse nationale dans leurs universités, contre 1,4 % en Europe. Même le financement public est supérieur aux États-Unis : 1,4 % contre 1,1 % du PIB en Europe » (9).

Sources :

1 – Pour l’égalité réelle, 2004 p.80
2 – Pour l’égalité réelle, 2004 p.82
3 – Ibid
4 – Ibid
5 – 365 jours, DSK, 2006, p.237
6 – DSK 2007, Changer la gauche pour changer la France. Elu en banlieue.
7 – Pour l’égalité réelle, DSK/Finchelstein, 2004 p.81
8 – Pour l’égalité réelle, 2004 p.82
9 – ibid

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#6804 Venez tous rejoindre sur l'autre la pétition24,

2011-10-07 20:11

Venez tous rejoindre sur l'autre la pétition24,
TOUS AVEC DSK - SIGNER CETTE PETITION
www.petitions24.net/comitedesoutiendsk

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#6805 Re: Venez tous rejoindre sur l'autre la pétition24,

2011-10-07 20:11

#6804: - Venez tous rejoindre sur l'autre la pétition24, 

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#6806 Re: Re: Venez tous rejoindre sur l'autre la pétition24,

2011-10-07 20:11

#6805: - Re: Venez tous rejoindre sur l'autre la pétition24, 

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#6807 Re: SOUTIEN A DSK

2011-10-07 20:11

#6803: - SOUTIEN A DSK  

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#6808 Venez tous rejoindre sur l'autre la pétition24,

2011-10-07 20:22

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#6809 Re: Re: SOUTIEN A DSK

2011-10-07 20:23

#6807: - Re: SOUTIEN A DSK  

 

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#6810 Re: Re: Re: SOUTIEN A DSK

2011-10-07 20:25

#6809: - Re: Re: SOUTIEN A DSK  

 

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#6811 Re: Re: Re: Re: SOUTIEN A DSK

2011-10-07 20:40

#6810: - Re: Re: Re: SOUTIEN A DSK  

 

PARIS (Reuters) - Dominique Strauss-Kahn est aujourd'hui le meilleur candidat du Parti socialiste pour l'élection présidentielle de 2012, a déclaré vendredi Claude Allègre.

L'ancien ministre de l'Education nationale et de la Recherche de Lionel Jospin, qui a quitté le PS en 2008, estime que l'ex-directeur général du Fonds monétaire international (FMI) aurait dû briguer l'investiture socialiste malgré ses démêlés judiciaires, aux Etats-Unis et en France.

"Nous dépendons tous de ce qui va se passer en Europe. On est dans une phase historique : ou bien l'Europe va tomber dans un déclin profond ou bien l'Europe va rester et redevenir un coeur", justifie-t-il dans l'émission "Les débats de la présidentielle" diffusée vendredi sur Public Sénat et France Inter.

"Dominique Strauss-Kahn est quelqu'un qui avait des idées et des solutions sur ce problème européen. Si vous me montrez dans le programme du Parti Socialiste des propositions sur l'Europe, j'en serais heureux", a-t-il ajouté.

Aucun des six prétendants à la primaire ne lui a paru "convaincant" lors des trois débats précédant le premier tour du vote, dimanche.

Claude Allègre se redit hostile au système de la primaire qui préfigure selon lui "la disparition des partis politiques". Il précise qu'il ne votera pas dimanche.

L'ancien ministre socialiste avait traité François Hollande, favori de la primaire, de "menteur" qui "n'a jamais rien foutu" dans une interview à Nice Matin le 21 septembre.

"Je dis surtout que c'est un homme de compromis parce que je l'ai vu faire dans le Parti socialiste", a-t-il corrigé vendredi.

Sophie Louet, édité par Yves Clarisse


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#6812 Re: Re: Re: Re: Re: SOUTIEN A DSK

2011-10-07 20:40

#6811: - Re: Re: Re: Re: SOUTIEN A DSK  

 

 

 Venez tous rejoindre sur l'autre la pétition24,
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#6813

2011-10-07 20:49

Publié dans Non classé | 129 commentaires | Alerter
29 septembre 2011 En solde: dîner avec Barack Obama
Comme toutes les fins de trimestre, c'est la frénésie. Les candidats multiplient les réunions de collecte de fonds et lancent des appels pressants à leurs sympathisants. Vendredi 30 septembre est la date limite fixée par la commission électorale pour déposer les chiffres du 3ème trimestre.
Le bilan va donner une indication précieuse de l'état des forces. Sur qui parient les républicains ? Barack Obama réussit-il à remobiliser sa base ?
Le président a reconnu lui-même que les militants en ont assez de recevoir des mails de la campagne. "J'aime parler de dates butoir pour la collecte de fonds à peu près autant que vous de l'entendre", a-t-il écrit dans un mail.

- "I enjoy talking about fundraising deadlines as much as I imagine you enjoy hearing about them. But this Friday's deadline is important".

Les jeunes, notamment, sont un peu lassés. Quatre ans après avoir envoyé leur numéro de téléphone à 622-62, ils sont encore poursuivis de messages sur le même ton de camaraderie.

Michelle a été mise à contribution. Elle a envoyé un mail à la base (suivi d'un SMS rappelant l'existence du mail)

- "Not everyone knows how to prepare for a dinner like this. As someone who's eaten countless meals with my husband, I want to tell you the one thing to do if you're selected to join him...
Just relax. Barack wants this dinner to be fun, and he really loves getting to know supporters like you.
I hope you'll take him up on it before Friday's deadline.
These dinners mean a lot to Barack. They're a chance for him to talk with a few of the people who are driving the campaign -- and a chance for him to say thank you.
So come prepared to tell your story, and say whatever's on your mind.
Don't miss the opportunity to be there. Donate $3 today, before the September 30th deadline:
Thanks,
Michelle"

Effet de la crise ? Soldes de fin de trimestre ? La campagne Obama propose un dîner avec le président pour ... 3 dollars. Avant, il fallait donner 5 dollars pour figurer dans le tirage au sort qui désignera l'heureux gagnant du dîner...



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#6814

2011-10-07 20:57

africanité à 15:37 le 05-10-2011

triste anne

Je ne comprends pas en tant qu'africaine, cet acharnement j'aimerai bien que tous les pseudos féministes aillent manifester dans certains pays d'afrique noire, devant leur ambassade en europe,les gamines se font violer par des hommes de tout poil se font mettre enceinte, on leur transmet le sida et d'autres maladies vénériennes il faut arrêter ce cinéma, y a t-il-deux poids deux mesures ? Monsieur DSK a assez payé comme ça qu'on lui foute la paix, et si on va fouiller la vie de tous ces hommes de pouvoir en france ?Diallo et Triste Anne se ne sont pas des gamines, c'est une histoire de pognon...il faut arrêter, et sa mère aussi qui a couché on dirait du kankan...mais on en est où là ? on voit que vous avez beaucoup souffert Mme triste anne vous sortez un livre et demandez que DSK s'excuse ? et quoi encore? quoi qu'il arrive tout ce qu'il fait est critiqué, alors ! quant à l'autre aux USA je ne vous dis pas ce que la communauté africaine pense d'elle c'est du cinéma.

Alerter

Visiteur

#6815 Re: SOUTIEN A DSK

2011-10-07 21:18

#6803: - SOUTIEN A DSK  

 

témoignage gardien de rikers

#6782 en tout cas j'ai trouvé du caca aux truffes pendant sa fouille rectale au perv!

07 Oct 2011, 19:04

#6781: - Re: Re: Re: l'abject le vaï et ses amis les prédateurs sexuels souilleurs 

 

polanski, sodomisateur de fillette droguée, sans couteau ni pistolet, seulement avec son pénis!

#6753 Re: Re: Re: Re: n'allez pas sur l'autre pétition, elle est censurée

07 Oct 2011, 18:00

#6752: - Re: Re: Re: n'allez pas sur l'autre pétition, elle est censurée 

 

citoyen horrifié par les propos de levaï


http://www.petitions24.net/images/success.png...

#6743 l'ignoble abject budapestois levaï, salisseur de la france et ses amis prédateurs sexuels

07 Oct 2011, 17:51


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#6816 Re: Re: SOUTIEN A DSK

2011-10-07 21:18

#6815: - Re: SOUTIEN A DSK  

 

témoignage gardien de rikers

#6782 en tout cas j'ai trouvé du caca aux truffes pendant sa fouille rectale au perv!

07 Oct 2011, 19:04

#6781: - Re: Re: Re: l'abject le vaï et ses amis les prédateurs sexuels souilleurs 

 

polanski, sodomisateur de fillette droguée, sans couteau ni pistolet, seulement avec son pénis!

#6753 Re: Re: Re: Re: n'allez pas sur l'autre pétition, elle est censurée

07 Oct 2011, 18:00

#6752: - Re: Re: Re: n'allez pas sur l'autre pétition, elle est censurée 

 

citoyen horrifié par les propos de levaï


http://www.petitions24.net/images/success.png...

#6743 l'ignoble abject budapestois levaï, salisseur de la france et ses amis prédateurs sexuels

07 Oct 2011, 17:51


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#6817 Re:

2011-10-07 21:18

#6814: -  

 

DSK/Banon : le plan Com. de Tristane Banon a parfaitement fonctionné !

http://casimira.blogs.nouvelobs.com/media/02/01/291075912.jpg...

Manifestation de Tristane Banon et de son comité de soutien. 

 

Le fou rit, même quand il se noie. "Proverbe anglais"

 


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#6818 Re: Re: Re: SOUTIEN A DSK

2011-10-07 21:18

#6816: - Re: Re: SOUTIEN A DSK  

témoignage gardien de rikers

#6782 en tout cas j'ai trouvé du caca aux truffes pendant sa fouille rectale au perv!

07 Oct 2011, 19:04

#6781: - Re: Re: Re: l'abject le vaï et ses amis les prédateurs sexuels souilleurs 

 

polanski, sodomisateur de fillette droguée, sans couteau ni pistolet, seulement avec son pénis!

#6753 Re: Re: Re: Re: n'allez pas sur l'autre pétition, elle est censurée

07 Oct 2011, 18:00

#6752: - Re: Re: Re: n'allez pas sur l'autre pétition, elle est censurée 

 

citoyen horrifié par les propos de levaï


http://www.petitions24.net/images/success.png...

#6743 l'ignoble abject budapestois levaï, salisseur de la france et ses amis prédateurs sexuels

07 Oct 2011, 17:51

 


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#6819 Re: Re: Re: Re: SOUTIEN A DSK

2011-10-07 21:19

#6818: - Re: Re: Re: SOUTIEN A DSK  

 

témoignage gardien de rikers

#6782 en tout cas j'ai trouvé du caca aux truffes pendant sa fouille rectale au perv!

07 Oct 2011, 19:04

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polanski, sodomisateur de fillette droguée, sans couteau ni pistolet, seulement avec son pénis!

#6753 Re: Re: Re: Re: n'allez pas sur l'autre pétition, elle est censurée

07 Oct 2011, 18:00

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citoyen horrifié par les propos de levaï


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07 Oct 2011, 17:51


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#6820 Re: Re: Re: Re: Re: SOUTIEN A DSK

2011-10-07 21:19

#6819: - Re: Re: Re: Re: SOUTIEN A DSK  

 

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#6821 Re: Re: Re: Re: Re: Re: SOUTIEN A DSK

2011-10-07 21:19

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#6753 Re: Re: Re: Re: n'allez pas sur l'autre pétition, elle est censurée

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citoyen horrifié par les propos de levaï


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07 Oct 2011, 17:51


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#6822 Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: SOUTIEN A DSK

2011-10-07 21:19

#6821: - Re: Re: Re: Re: Re: Re: SOUTIEN A DSK  

 

témoignage gardien de rikers

#6782 en tout cas j'ai trouvé du caca aux truffes pendant sa fouille rectale au perv!

07 Oct 2011, 19:04

#6781: - Re: Re: Re: l'abject le vaï et ses amis les prédateurs sexuels souilleurs 

 

polanski, sodomisateur de fillette droguée, sans couteau ni pistolet, seulement avec son pénis!

#6753 Re: Re: Re: Re: n'allez pas sur l'autre pétition, elle est censurée

07 Oct 2011, 18:00

#6752: - Re: Re: Re: n'allez pas sur l'autre pétition, elle est censurée 

 

citoyen horrifié par les propos de levaï


http://www.petitions24.net/images/success.png...

#6743 l'ignoble abject budapestois levaï, salisseur de la france et ses amis prédateurs sexuels

07 Oct 2011, 17:51


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#6823

2011-10-07 21:48

01/06/2011
Il employait Tristane Banon et devait éditer le livre de Dominique Strauss-Kahn
Philippe Héraclès, PDG du cherche midi éditeur, aujourd’hui en procès avec l’écrivaine, aurait fait de DSK candidat à la présidentielle un auteur à succès.

Tristane Banon (1) collabore t-elle toujours avec le cherche midi éditeur ?
Elle avait des responsabilités d’auteur. Je dis bien, elle avait, puisque depuis trois mois, nous n’avons des nouvelles d’elle que par l’intermédiaire de son avocat.

Travaillait-elle pour vous depuis longtemps ?
On avait fait sa connaissance il y a plus de deux ans. C’est un collaborateur de la maison qui me l’avait présentée et qui m’avait dit qu’elle cherchait à collaborer avec une maison d’édition pour mettre ses talents de journaliste à profit.

Etes-vous en procès avec elle ?
Oui, elle a saisi les prud’hommes, peu de temps après que je lui ai fait part d’un désaccord sur l’un des manuscrits qu’elle avait en charge d’établir avec un auteur. Ce dernier a refusé catégoriquement le travail présenté par Tristane Banon.

S’agit-il d’une remise en cause de son travail ?
Absolument, je pense qu’elle n’a pas accepté d’être remise en cause. Or, dans l’édition, jusqu’au bon à tirer d’un livre, il faut accepter de retravailler un texte.

Pouvez-vous être plus précis ?
Elle avait des contrats sur des livres dont elle devait s’occuper et elle souhaite maintenant que son travail d’auteur soit transformé en contrat salarié. Mais il n’a jamais été question entre nous d’un contrat de travail.

Comment évolue cette affaire ?
Elle a décidé de passer par son avocat au premier désaccord pour essayer d’obtenir une transformation de son statut. J’ai créé le cherche midi éditeur il y a trente-cinq ans et je n’ai jamais vu cela. Lorsque l’on donne une chance à quelqu’un pour réussir dans la vie éditoriale, on ne s’attend
pas, en remerciement, à ce genre de pratique. Son attitude envers nous est totalement incompréhensible. J’avoue ne pas avoir compris.

Etiez-vous au courant des déclarations de Tristane Banon sur DSK ?
Oui, par son site internet et par la rumeur.

Vous deviez éditer le livre de DSK s’il avait été candidat à la présidentielle. Est-ce un important manque à gagner ?
Le cherche midi éditeur publie environ 160 nouveaux titres par an et DSK faisait partie des auteurs avec lesquels nous avions, par l’intermédiaire de l’un de nos collaborateurs, Arash Derambarsh, une relation, notamment auprès de ses proches collaborateurs. Il y avait un accord de principe pour construire un livre ensemble s’il se présentait aux élections présidentielles. Pour lui, cela aurait été notamment un outil de communication destiné à faire connaître son projet pour la France et pour nous un livre dont la diffusion aurait été importante.S’il ne se présente plus à l’élection présidentielle, ce qui semble le cas le plus probable aujourd’hui, rien ne dit qu’autre chose ne puisse se faire sur le plan éditorial.

Quel tirage aviez-vous prévu pour le lancement du livre de D.S.K ?
Pour un livre de cette nature, la mise en place en librairie peut atteindre entre 25 000 et 40 000 exemplaires au départ. DSK est une personnalité connue et importante dans le paysage politique français. Il représentait le rassemblement possible de la gauche et il allait sans doute être le candidat des socialistes.

1.- Contacté à plusieurs reprises à son cabinet parisien, David Koubbi, avocat de Tristane Banon, n’a jamais répondu à nos sollicitations


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#6824 Re:

2011-10-07 21:49

#6823: -  

 

01/06/2011
Il employait Tristane Banon et devait éditer le livre de Dominique Strauss-Kahn
Philippe Héraclès, PDG du cherche midi éditeur, aujourd’hui en procès avec l’écrivaine, aurait fait de DSK candidat à la présidentielle un auteur à succès.

Tristane Banon (1) collabore t-elle toujours avec le cherche midi éditeur ?
Elle avait des responsabilités d’auteur. Je dis bien, elle avait, puisque depuis trois mois, nous n’avons des nouvelles d’elle que par l’intermédiaire de son avocat.

Travaillait-elle pour vous depuis longtemps ?
On avait fait sa connaissance il y a plus de deux ans. C’est un collaborateur de la maison qui me l’avait présentée et qui m’avait dit qu’elle cherchait à collaborer avec une maison d’édition pour mettre ses talents de journaliste à profit.

Etes-vous en procès avec elle ?
Oui, elle a saisi les prud’hommes, peu de temps après que je lui ai fait part d’un désaccord sur l’un des manuscrits qu’elle avait en charge d’établir avec un auteur. Ce dernier a refusé catégoriquement le travail présenté par Tristane Banon.

S’agit-il d’une remise en cause de son travail ?
Absolument, je pense qu’elle n’a pas accepté d’être remise en cause. Or, dans l’édition, jusqu’au bon à tirer d’un livre, il faut accepter de retravailler un texte.

Pouvez-vous être plus précis ?
Elle avait des contrats sur des livres dont elle devait s’occuper et elle souhaite maintenant que son travail d’auteur soit transformé en contrat salarié. Mais il n’a jamais été question entre nous d’un contrat de travail.

Comment évolue cette affaire ?
Elle a décidé de passer par son avocat au premier désaccord pour essayer d’obtenir une transformation de son statut. J’ai créé le cherche midi éditeur il y a trente-cinq ans et je n’ai jamais vu cela. Lorsque l’on donne une chance à quelqu’un pour réussir dans la vie éditoriale, on ne s’attend
pas, en remerciement, à ce genre de pratique. Son attitude envers nous est totalement incompréhensible. J’avoue ne pas avoir compris.

Etiez-vous au courant des déclarations de Tristane Banon sur DSK ?
Oui, par son site internet et par la rumeur.

Vous deviez éditer le livre de DSK s’il avait été candidat à la présidentielle. Est-ce un important manque à gagner ?
Le cherche midi éditeur publie environ 160 nouveaux titres par an et DSK faisait partie des auteurs avec lesquels nous avions, par l’intermédiaire de l’un de nos collaborateurs, Arash Derambarsh, une relation, notamment auprès de ses proches collaborateurs. Il y avait un accord de principe pour construire un livre ensemble s’il se présentait aux élections présidentielles. Pour lui, cela aurait été notamment un outil de communication destiné à faire connaître son projet pour la France et pour nous un livre dont la diffusion aurait été importante.S’il ne se présente plus à l’élection présidentielle, ce qui semble le cas le plus probable aujourd’hui, rien ne dit qu’autre chose ne puisse se faire sur le plan éditorial.

Quel tirage aviez-vous prévu pour le lancement du livre de D.S.K ?
Pour un livre de cette nature, la mise en place en librairie peut atteindre entre 25 000 et 40 000 exemplaires au départ. DSK est une personnalité connue et importante dans le paysage politique français. Il représentait le rassemblement possible de la gauche et il allait sans doute être le candidat des socialistes.

1.- Contacté à plusieurs reprises à son cabinet parisien, David Koubbi, avocat de Tristane Banon, n’a jamais répondu à nos sollicitations


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#6825 Re: Re:

2011-10-07 21:50

#6824: - Re:  

 

01/06/2011
Il employait Tristane Banon et devait éditer le livre de Dominique Strauss-Kahn
Philippe Héraclès, PDG du cherche midi éditeur, aujourd’hui en procès avec l’écrivaine, aurait fait de DSK candidat à la présidentielle un auteur à succès.

Tristane Banon (1) collabore t-elle toujours avec le cherche midi éditeur ?
Elle avait des responsabilités d’auteur. Je dis bien, elle avait, puisque depuis trois mois, nous n’avons des nouvelles d’elle que par l’intermédiaire de son avocat.

Travaillait-elle pour vous depuis longtemps ?
On avait fait sa connaissance il y a plus de deux ans. C’est un collaborateur de la maison qui me l’avait présentée et qui m’avait dit qu’elle cherchait à collaborer avec une maison d’édition pour mettre ses talents de journaliste à profit.

Etes-vous en procès avec elle ?
Oui, elle a saisi les prud’hommes, peu de temps après que je lui ai fait part d’un désaccord sur l’un des manuscrits qu’elle avait en charge d’établir avec un auteur. Ce dernier a refusé catégoriquement le travail présenté par Tristane Banon.

S’agit-il d’une remise en cause de son travail ?
Absolument, je pense qu’elle n’a pas accepté d’être remise en cause. Or, dans l’édition, jusqu’au bon à tirer d’un livre, il faut accepter de retravailler un texte.

Pouvez-vous être plus précis ?
Elle avait des contrats sur des livres dont elle devait s’occuper et elle souhaite maintenant que son travail d’auteur soit transformé en contrat salarié. Mais il n’a jamais été question entre nous d’un contrat de travail.

Comment évolue cette affaire ?
Elle a décidé de passer par son avocat au premier désaccord pour essayer d’obtenir une transformation de son statut. J’ai créé le cherche midi éditeur il y a trente-cinq ans et je n’ai jamais vu cela. Lorsque l’on donne une chance à quelqu’un pour réussir dans la vie éditoriale, on ne s’attend
pas, en remerciement, à ce genre de pratique. Son attitude envers nous est totalement incompréhensible. J’avoue ne pas avoir compris.

Etiez-vous au courant des déclarations de Tristane Banon sur DSK ?
Oui, par son site internet et par la rumeur.

Vous deviez éditer le livre de DSK s’il avait été candidat à la présidentielle. Est-ce un important manque à gagner ?
Le cherche midi éditeur publie environ 160 nouveaux titres par an et DSK faisait partie des auteurs avec lesquels nous avions, par l’intermédiaire de l’un de nos collaborateurs, Arash Derambarsh, une relation, notamment auprès de ses proches collaborateurs. Il y avait un accord de principe pour construire un livre ensemble s’il se présentait aux élections présidentielles. Pour lui, cela aurait été notamment un outil de communication destiné à faire connaître son projet pour la France et pour nous un livre dont la diffusion aurait été importante.S’il ne se présente plus à l’élection présidentielle, ce qui semble le cas le plus probable aujourd’hui, rien ne dit qu’autre chose ne puisse se faire sur le plan éditorial.

Quel tirage aviez-vous prévu pour le lancement du livre de D.S.K ?
Pour un livre de cette nature, la mise en place en librairie peut atteindre entre 25 000 et 40 000 exemplaires au départ. DSK est une personnalité connue et importante dans le paysage politique français. Il représentait le rassemblement possible de la gauche et il allait sans doute être le candidat des socialistes.

1.- Contacté à plusieurs reprises à son cabinet parisien, David Koubbi, avocat de Tristane Banon, n’a jamais répondu à nos sollicitations