NON au bannissement des pitbulls au Québec

On le voit partout. À la télé, sur Internet... principalement auprès des médias de masses... Il est facile d'influencer la créature québécoise. Petit animal sans défense, elle se recroqueville sur elle-même lorsque nous lui disons d'avoir peur.

Menace ou pas, elle se fige et se fonde dans la haine. Elle se met à crier des insultes et des mensonges tout simplement parce qu'elle est persuadée que si d'autres disent que quelque chose est dangereux, alors, elle se doit elle aussi de le trouver dangereux. Après tout, à quoi peu bien servir des statistiques quand tu vois quelque chose à la tv? Si un noir vole quelque chose, alors tous les noirs sont des voleurs, non?

Sans aucun fondement, elle se met à discriminer parce qu'elle a peur. La créature québécoise est si terrifiée de son environnement qu'elle fait tout pour essayer de le contrôler. Complètement accroc au communisme, au socialisme et avec une légère touche de fascisme, elle est persuadé qu'imposer son mode de pensée aux autres est quelque chose de légitime, de bien. Après tout, si elle est persuadée du danger, elle ne fait que défendre les autres, non? Pour elle, le collectivisme est une religion, quelque chose de sacré.

Sans respect pour le droit individuel, elle catégorise dans l'espoir d'avoir un monde qu'elle désire, un monde contrôlé et sans liberté et ou la sécurité prévaut TOUJOURS.

Son cerveau est si petit que la créature québécoise ne peut arriver à se forger une opinon par elle-même. Ainsi, elle dépend des médias comme TVA ou RDI, son dieu, en espérant avoir une direction, une ligne de pensée. Cette créature n'a jamais eu de Pitbull, mais puisque les nouvelles disent aux autres créatures que les Pitbulls sont dangereux, alors, il faut écouter! Naturellement, les journalistes sont des experts en comportement canin.

Elle a donc peur des musulmans, des noirs, des gens mal rasés, des hommes, des italiens, des arabes, des jeunes skateurs qui fument de la marijuana, de la cigarette, des végétariens, des écologistes, etc, etc, etc... Il faut avoir peur. La créature québécoise s'en nourrit. Elle est bien dans la peur. Elle aime avoir peur. Pour elle, c'est excitant.

Alors la créature chiale, elle crie. Elle veut que la peur cesse sans toutefois le vouloir vraiment. Après que la peur se soit estompée, elle se lance dans une autre peur et se remet à crier.

Méfiez-vous de la créature québécoise. Toutefois, combattez-la. Parce que malheureusement, la créature québécoise a conscience du mal qu'elle peut faire. Elle sait que tous les Pitbulls ne mordent pas. Hors, elle préfère en avoir peur. Elle n'a aucune morale ou aucune pitié. Elle sait que son geste va briser des familles. Honnêtement, elle n'est pas vraiment humaine, cette créature.

Elle préfère fuir et se cacher plutôt que d'avoir des conversations intelligentes, plutôt que de remettre en question sa façon de pensée.

Avoir un Pitbull n'est pas dangereux - avoir une société infestée de créatures québécoises, par contre, l'est.

Peut-être n'arriverons-nous jamais à la faire disparaître, mais autoriser l'adoption de Pitbull (parce que 1) ce ne sont pas des chiens dangereux et 2) ils ne sont pas plus agressifs qu'une autre race de chien) est de respecter le droit individuel, un droit que nous perdons de jour en jour à cause de ce parasite.

Alors signez la pétition et combattez avec nous la créature québécoise, notre plus grande menace et fardeau.