Hiro ne doit pas changer de famille, il a déjà une famille !

Bonjour à tous ceux qui pensent que Mme Moutarde Présidente de CroBlanc asso n'a pas à subir de plaintes ou de pétitions.

Vous pouvez répondre à Mamour et Mado via ce blog, si vous le souhaitez nous prendrons contact et je vous fournirai tous les éléments du dossier que j'instruis.

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Le 19/10/2016, à 00:15, Mamour et Mado à écrit :

Réponse à Madame la Présidente de CrocBlanc association 

Dijon, ce 18 Octobre 2016, 23H35.

Madame la Présidente,

Pour faciliter la lecture de ma réponse à vos réactions et ne pas empiéter sur votre temps précieux, mes commentaires figurent en rouge sous chacun de vos paragraphes. Je me demande par avance ce dont va transpirer ce mail à nouveau à rallonge, lisez le après le travail, c’est un conseil qui n’engage que moi. 

Monsieur,

Je prend connaissance de votre mail

Je ne prendrai donc ni la peine ni le temps de répondre point par point à vos divagations extravagantes et vos propos insultants.

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C’est fort dommage par contre moi, oui :

Enchanté de converser avec vous aussi rapidement et pour la première fois, c’est ce que je demande depuis mes courriels du 27 et 28 août derniers sans succès. Je vous ai joint ci-après celui du 28 en réponse à la responsable des chats et qui fait toute la lumière sur nos propos. Apparemment il ne vous a jamais été transmis par votre équipe, ou n’avez pas pris la peine de le lire ? Sinon nous n’en serions pas là, vous soustrayant à vos lourdes responsabilités ô combien nobles, et cette remarque est sans ironie de ma part.

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Votre mémoire est bien courte si l'on considère que vous nous avez menacé de faire euthanasier ces 2 chatons si nous ne les reprenions pas en urgence alors que vous les aviez en famille d'accueil provisoire.
Donc la décision de vous refuser l'adoption n'est pas négociable, comme nous vous l'avons déjà précisé à plusieurs reprises.

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L’heure n’est donc effectivement plus à la négociation de l’adoption de ces 2 chatons alors que c’était pourtant notre simple et légitime demande exprimée maintes fois. Vous avez donc tranché grâce à votre droit divin et je le respecte.

Par contre, des « menaces » qui auraient été proférées de ma part et de surcroît associées à la locution particulièrement diffamatoire « ..Euthanasier ces 2 chatons…», oser opposer ces termes à une de vos familles d’accueil sélectionnée avec grand soin par votre association qui en cherche tous les jours, ne peuvent bien évidemment pas faire partie de ma mémoire puisqu’ils émanent d’une pure spéculation de votre part et d’une interprétation de faits qui vous dépassent.

Ces deux points mentionnés enfin par écrit de votre propre plume, ainsi que l’appel téléphonique de votre association auprès de notre clinique vétérinaire mentionnant effectivement ces termes précis qui surprennent et indignent tout le monde, motivent la poursuite de mon action.

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Et par ailleurs comme vous l'avez compris, nos 2 chatons en question ont été adoptés par une très bonne famille, ce qui clôt toute discussion.

Que vous en fassiez une affaire personnelle est votre problème, mais sachez bien que nous ferons toujours passer toujours l’intérêt de nos animaux avant cet espèce d'orgueil mal placé qui transpire dans votre mail à rallonge.

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Si vous pensez qu’une telle diffamation et un tel dédain de votre part pour vos adhérents ne peut réveiller qu’un simple orgueil mal placé, je vous laisse le soin d’argumenter ce point devant un représentant de la loi. Clamer être le garant absolu du droit des animaux, ce qui vous honore et c’est bien cette vertu qui nous a conduit à votre association via le site WAMIZ, ne donne pas droit à diffamation.

Ce qui me répugne dans cette phrase c’est sa condescendance qui semble vous autoriser les plus grands excès de jugement envers les familles qui vous font défaut et qui adhèrent à vos valeurs :

Vous n’avez pas le monopole du cœur Madame.

Et faire passer des gens qui partagent vos valeurs pour des inconséquents, des intrigants, voire pire des tortionnaires en puissance, alors qu’ils sont à vos côtés pour vous épauler et renforcer votre projet de vie me paraît extrêmement cavalier, mais surtout répréhensible.

Il va falloir aussi intégrer la dimension humaine dans votre projet pour pouvoir faire passer l’intérêt de nos animaux avant toute autre considération, c’est un prérequis qui me semble bien trivial pourtant et qui aurait dû être le socle de votre business model dès sa fondation.

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Votre position sociale dont vous vous targuez, allant meme jusqu'à vous vanter de choisir vous même le juge, ne vous donnera aucun passe droit et n'est absolument pas de nature à m’impressionner.

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On reste dans l’interprétation et les à priori qui semblent vous caractériser, vous me prêtez une influence auprès de la magistrature Française qui va me faire rougir ou à nouveau vous voyez à mon encontre des intentions de corruption de hauts fonctionnaires d’état ?. Je vais simplement comme expliqué, choisir l’instance la plus appropriée après conseil de notre vétérinaire de famille, la justice condamne les coupables mais ne délivre pas à ma connaissance de passe-droit aux gens honnêtes.

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Je vous suggère également de prendre quelques cours de droit, conséquence de quoi vous apprendriez que ces animaux étant notre stricte propriété, nous sommes seuls décisionnaires de leur avenir.

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Je vous ai parfaitement rappelé que ces animaux sont la « propriété » au sens légal, de CrocBlanc, je préférerais par contre plutôt que d’employer le vocabulaire du droit Français et encourager les autres à l’étudier, que vous vous en sentiez simplement et humblement hautement responsable, s’ « approprier » des êtres vivants me dérange profondément d’un point de vue philosophique.

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Donc merci de cesser d'importuner la terre entière et de nous harceler avec votre réécriture mensongère de l'histoire, et faites ce que bon vous semble en rétorsion et vengeance à l'encontre une association qui a osé, ô sacrilège, vous contredire.

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Je croirais me lire dans un miroir.

Je vous remercie chaleureusement, Madame la présidente, de daigner m’autoriser à contester bassement votre jugement bien hâtif et votre éthique concernant vous adhérents dévoués. Et je vous remercie d’avoir eu la décence de supprimer le contact e-mail de mon épouse dans votre réponse car vos allégations sont fortement de nature à aggraver son état de désarroi actuel.

Je persiste pourtant à penser que ces deux chatons auraient eu une place tout à fait privilégiée voire rêvée au sein de notre foyer.

Ne soyez pas trop dure avec leur nouveaux maîtres et accordez leur un peu d’indulgence avant de les juger impitoyablement si ils vous demandent un jour un peu d’aide passagère. Surtout s’ils décident de rejoindre le club très sélect et trié sur le volet d’une de vos nouvelles familles d’accueil.

Il en va avant toute chose et comme vous l’expliquez afin de minimiser vos propos blessants et discrimatoires, du bien être futur de Mamour et Mado.

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Cordiales salutations

Catherine Moutarde