BULAC

Julien

/ #7 Re:

2012-12-07 03:02

#5: Ivana -

Bonsoir Ivana,

Tout d'abord, certains textes de lois peuvent être amendés sous la "pression" populaire, en l'occurrence étudiante de l'INALCO. Si l'on ne fait rien, bien évidemment, rien ne changera. De surcroît, je suis également un usager régulier de la BULAC et il m'est très DIFFICILE de trouver une place, sauf dès son ouverture à 10h00. Le reste du temps, la BULAC est BONDEE! Déjà que la BULAC ne dispose pas beaucoup de places pour les étudiants de l'INALCO, à quoi bon l'ouvrir à ceux qui n'ont pas besoin des ouvrages précieux NECESSAIRES à tout élève de langue orientale? Selon moi, il ne sert à rien de stigmatiser une certaine catégorie d'étudiants, cela ne mène à rien d'accuser le scientifique. Il faut simplement se rendre à l'évidence que la BULAC ne regorge pas d'ouvrages mathématiques. De ce fait, il ne sert à rien à un étudiant de biologie par exemple, de travailler à la BULAC, alors qu'il a la possibilité de travailler dans la Bibliothèque Universitaire de sa propre université. Enfin, il y a deux jours, mercredi 5 décembre 2012, je travaillais à la BULAC, il était à peu près 20h00 (heure à laquelle la BULAC est très souvent BONDEE) quand tout à coup j'ai entendu des cris. Il s'agissait d'une altercation entre un étudiant qui recherchait une place pour travailler, mais il n'y en avait pas. L'étudiant en question a remarqué qu'à la table ou je me trouvais, un autre étudiant était en train d'écouter très fort de la musique et de naviguer sur facebook. Donc l'étudiant recherchant une place à gentiment demander à l'étudiant assis s'il pouvait lui laisser la place pour travailler, vue qu'il ne travaillait pas! Et l'étudiant assis s'est mis à l'insulter et à lui dire qu'il était en droit de venir à la BULAC simplement pour "facebooker". Heureusement, on les a séparer, mais ça aurait aller très loin. Dans tous les cas, je pense qu'une discussion, qu'un débat au sujet de la gestion de la BULAC est nécessaire.