Le problème n’est pas insoluble. Des solutions existent si l’Etat, prenait la question sérieusement, pourrait éradiquer facilement ce trafic.
Ses services de sécurité, précisément la police, la gendarmerie et les gardes-frontières, appuyés par les douaniers, pourraient traquer inlassablement les « hallaba »
Pour les stations service il faut réfléchir à un système de traçabilité du carburant:
Exemple:
Dans la zone frontière ( 100 à 150 km ) chaque automobiliste aura un petit carnet de d’approvisionnement ( pas de rationnement ) en carburant sur lequel sont notés immatriculation N° de carte grise + compteur de km.
Dans chaque station service lors d’un plein de carburant un contrôle est effectué avant sur le kilométrage effectué depuis le dernier plein ( avec 10 à 15% de marge ).
Si on constate que l’automobiliste a effectué 50 km avec un plein de 60 litres, aucun doute c’est un trafiquant.
Et les honnêtes citoyens ne seront pas pénalisés.

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très bonne idée, merci