#473: - Re:

Évidement qu'ils ont des propositions, il y avait même un commentaire sur l'une des deux pétitions (je ne sais plus laquelle, mais ça doit pas être dur de le retrouver), dans lequel la personne avouait avoir reçu plusieurs propositions mais qu'elles les avaient systématiquement rejeté car en habitant aux Damiers elle n'était qu'a 800 mètres de son lieu de travail.

C'est ce genre de personne qui empêche le relogement de se faire.

Mais combien de francilien ont la chance d'habiter à 800 mètres de son lieu de travail, pas moi en tout cas, je fais 2h40 de transport par jour pour aller de mon travailler à mon domicile et je donnerai n'importe quoi pour avoir l'appartement qu'on lui a proposé qui est sans nul doute plus proche de Paris que mon lieu d'habitation actuel. Et combien de locataires ont la chance de se voir proposer un nouveau logement par le propriétaire lors de la fin du bail, pas beaucoup à mon avis.

Quelle belle image cette femme donne aux habitants récalcitrants des Damiers (sens parler de Mme B qui procède deux logements HLM, ce qui est interdit par la loi).

C'est pour ce genre de comportement que les gens sont hostiles aux opposants du projet Hermitage Plaza.

Si vous voulez que l'on voit de la crédibilité dans vos revendications, commencez déjà par ne pas nous tendre le bâton pour vous faire battre en gardent sous silence ce genre de comportement.

#474: - Re: Re:

"Et combien de locataires ont la chance de se voir proposer un nouveau logement par le propriétaire lors de la fin du bail, pas beaucoup à mon avis."

Dans le cas général, quand les propriétaires ne renouvellent pas les baux, les locataires doivent bien sûr se débrouiller eux-mêmes pour retrouver d'autres logements. J'en ai fait moi-même l'expérience quand j'étais étudiant. Mon propriétaire avait besoin de l'appartement qu'il me louait dans le 19ème arrondissement pour son usage personnel. Il m'a prévenu 2 ou 3 mois à l'avance, j'ai dû retrouver un autre logement moi-même avec fort heureusement l'aide de ma famille, mais nous nous sommes débrouillés comme des grands sans rien exiger du propriétaire puisqu'il était dans son plein droit. L'appartement était à lui, pas à moi.

Ces gens des Damiers ont le privilège d'être pris par la main par leur propriétaire qui leur propose des relogements en série et ils trouvent le moyen de s'en plaindre. C'est pas croyable, on hallucine. Mais que sont ces gens à la fin ? Qu'est-ce que c'est que leur comportement d'enfants pourris gâtés ? Sérieusement on croit rêver quand on y pense. Ils n'ont pas la moindre chance devant les tribunaux et ils sont tout à fait pitoyables.