Pour le départ immédiat dans une autre dimension de Nadine Morano

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#1

2012-01-25 00:09

Mettre fin immédiatement aux fonctions de ce Ministre indigne de la République

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#10 Re:

2012-01-25 01:17:09

#1: -  

 

http://www.lexpress.fr/actualites/1/societe/un-motard-escortant-nadine-morano-a-renverse-un-pieton-vendredi-a-paris_1075014.ht

Sollicité par l'AFP, le ministère délégué à l'Apprentissage et à la Formation professionnelle n'était pas joignable mardi soir.

L'information a provoqué de nombreux commentaires ironiques sur twitter, dont celui de l'humoriste Stéphane Guillon, qui a conseillé aux piétons de se renseigner sur les déplacements de la ministre afin d'"éviter le secteur". "Danger de mort", écrit-il aux "amis piétons qui sont sur tweeter".

Sans confirmer ni démentir l'accident relaté par Le Canard enchaîné, Mme Morano a répliqué à Stéphane Guillon sur son compte twitter: "Ah si on pouvait rouler sur votre bêtise, cela ferait du bien quelquefois". Quelques minutes plus tard, dans un nouveau message, elle a ajouté : Ne le prenez pas mal, j'essaie juste de sauver votre humour".

 

 

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#11 Re:

2012-01-25 01:18:53

#1: -  

 

 http://www.leparisien.fr/paris-75/un-pieton-renverse-vendredi-a-paris-par-l-escorte-de-nadine-morano-23-01-2012-1825739.php

Un piéton renversé vendredi à Paris par l'escorte de Nadine Morano

R.B | Publié le 23.01.2012, 18h50 | Mise à jour : 24.01.2012, 20h30

 
 

http://www.leparisien.fr/images/2011/12/08/1758970_policeafp1_640x280.jpg...

Percuté par le motard d'une escorte, à Paris, un piéton a été grièvement blessé. Il a été admis dans un état jugé sérieux à l'hôpital. Ses jours ne semblent plus en danger. | AFP

http://www.leparisien.fr/imgs/article/picto-diapo.gif...

Le piéton grièvement blessé vendredi dernier, dans un accident de la circulation, par un motard de la police nationale, à Paris, est sorti du coma. 

    Le motard qui l'avait percuté escortait en réalité la ministre Nadine Morano, qui se rendait à Orly pour un voyage privé, selon une source policière. La victime, un étudiant de 25 ans, a été renversée à un passage non protégé par des feux tricolores, avenue du Général Leclerc dans le 14è arrondissement de Paris.

SUR LE MÊME SUJET


Les faits remontent à vendredi matin, a confirmé lundi au Parisien.fr la préfecture de Paris. Dans un premier temps, celle-ci indiquait qu'il s'agissait d'un convoi encadré par une escorte judiciaire.        Le convoi, sirène et gyrophare en marche, roulait à contre-sens vers le sud de la capitale, quand l'homme a traversé l'avenue en courant avant d'être percuté par un des motards de l'escorte. Souffrant d'un «traumatisme crânien», le piéton accidenté a été très vite transporté à l'hôpital de la Pitié-Salpétrière. «Son état était en effet jugé sérieux, expliquait lundi une source proche de l'enquête. Mais aujourd'hui (ndlr: lundi), il semble bien que sa vie ne soit plus en danger. Son état s'est amélioré».

«Le choc à été très violent !»

«Le choc à été très violent ! Le piéton est resté immobile, couché au sol. Le motard, s'est relevé immédiatement, visiblement pas blessé, pour aller porter secours à sa victime»,     raconte un témoin, précisant que le convoi se composait «d'une voiture berline Renault escortée par deux motards de la police, et se dirigeait vers la porte d'Orléans». Selon le Canard Enchaîné daté de mercredi, la victime serait sortie de l'hôpital dès dimanche.

Selon la préfecture, «une enquête a eu lieu et le motard a été entendu. Le rapport est attendu dans les prochains jours pour tirer les conclusions sur cet accident. Les premiers éléments de l'enquête laissent penser que le piéton n'avait pas entendu les sirènes, il était équipé d'un casque audio».

LeParisien.fr


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#16 Re:

2012-01-25 09:55:49

#1: -  

 

Elle plaisante sur Morano et est licenciée pour faute grave

Anthony Cerveaux | Journaliste

  • « Je veux des suites à ce dossier », avait prévenu la ministre, qui a surpris, début avril, Albane, vendeuse au Printemps de Nancy.
abcdef

Le 9 avril, Nadine Morano, ministre de l'Apprentissage et de la Formation professionnelle, fait des emplettes au Printemps de Nancy (Meurthe-et-Moselle), en compagnie de sa fille et... d'un garde du corps. La présence du cerbère suscite quelques plaisanteries des employées. Plaisanteries qui se soldent par un licenciement pour faute grave, pour l'une d'entre elles.

Albane, 36 ans, responsable du stand Kookaï, raconte :

« En plaisantant, un de mes collègues a affirmé qu'il pourrait le mettre en deux temps, trois mouvements par terre.

On arrivait alors devant la porte de service qui mène aux coursives du Printemps. J'ai répondu que pour se mesurer à lui, il fallait d'abord casser la gueule à Mme Morano. »

La ministre se trouvait juste derrière à ce moment-là. Albane et ses collègues restent interdits :

« On ne l'avait pas vue, elle n'a entendu que la fin de la discussion. Elle s'est énervée et a rétorqué : “Allez-y si vous voulez me casser la gueule, je vous en prie, je suis là.” »

Nadine Morano : « Je n'en ai rien à foutre mademoiselle ! »

Albane s'est alors vivement excusée. Une version que confirment deux témoins :

« Elle s'est très largement confondue en excuses. Elle a reconnu que, même en plaisantant, c'était une bêtise. Elle n'a pas du tout fait exprès pour entrer en conflit avec elle. »

Albane, déconcertée :

« Je m'attendais à ce que Mme Morano prenne un peu de hauteur et me dise : “Faites attention à votre langage.” C'est pourquoi j'ai réitéré mes excuses en disant que je ne voudrais vraiment pas perdre mon travail. »

Selon Albane, la ministre lui a alors répondu, hautaine et avec dédain :

« Je n'en ai rien à foutre mademoiselle ! Vous n'aviez qu'à mesurer vos propos. Si j'avais été votre employeur vous auriez été licenciée sur-le-champ ! »

« Elle a donné sa carte du ministère »

Nadine Morano a alors demandé un responsable, puis les coordonnées du directeur du Printemps, absent ce jour-là. « Elle a également donné sa carte du ministère en disant : “Je vous préviens, je veux des suites à ce dossier” », indique Albane.

Cette dernière a été priée de quitter le magasin afin que la ministre et sa fille terminent leurs achats sans être en contact avec l'employée.

Jointe par Rue89, la direction du Printemps de Nancy refuse de commenter.

Albane : « Ils n'ont tenu compte que de la version de la ministre »

Inquiète pour son travail, Albane a immédiatement contacté la responsable régionale de Kookaï pour lui faire part de sa version des faits.

« Le lundi [11 avril, ndlr], ils me contactent pour me dire qu'ils vont essayer de me recaser dans un magasin Kookaï.

Et puis dans la foulée, ils me rappellent pour me dire que je suis mise à pied à titre conservatoire. »

Trois jours après, la jeune femme reçoit un courrier. Elle est convoquée au siège de Kookaï à Paris le 21 avril. Arrivée à l'entretien :

« Je n'ai même pas pu m'expliquer. D'emblée, la direction m'a dit que mon comportement avait été inadmissible et que j'avais jeté l'opprobre sur le Printemps et la société Kookaï.

Ils ont seulement tenu compte de la version de Mme Morano et ont précisé que ça n'avait rien à voir avec l'importance de la cliente, ce dont je doute fortement. »

Joint par Rue89, Kookaï aussi refuse de commenter.

Un témoin : « Il n'y a eu aucune attaque personnelle »

Le 27 avril, Albane est licenciée pour faute grave. Le courrier mentionne des « insultes et des injures » envers la ministre et stipule que l'employée a invectivé personnellement Nadine Morano depuis son stand Kookaï.

 

Faux, selon un des témoin :

 

« La version rapportée dans la lettre de licenciement est complétement erronée. En aucun cas, il n'y a eu aucune attaque personnelle d'Albane envers Mme Morano. » (Télécharger la lettre)

Par ailleurs, Albane constate qu'aucun des faits rapportés par sa version n'est présent dans le courrier. « Ils ont seulement repris la version de Mme Morano », regrette t-elle.

« Je ne pensais vraiment pas que ça en arriverait là. Lorsque je suis allé à l'entretien, la déléguée syndicale m'a dit qu'il y avait déjà eu des cas comme ça avec des blâmes ou des avertissements, mais jamais de licenciement. Pour elle, c'était une décision démesurée. »

« Avec ce dossier, comment je vais retrouver du travail ? »

Albane a un enfant, et des traites à payer. Elle est aujourd'hui au chômage et craint de ne pas pouvoir retrouver un emploi :

« Quand on est responsable de boutique, le nouvel employeur appelle toujours l'ancien pour une recommandation. Imaginez avec ce dossier, comment je vais retrouver du travail ? »

Un sentiment que doit comprendre Nadine Morano qui déclarait encore, le 5 mai, sur BFM-TV, en apostrophant Jean-Jacques Bourdin :

« Quand vous êtes victime du chômage, M. Bourdin, vous croyez que c'est pas une source d'angoisse.. » (Voir la vidéo, à la sixième minute)

Avec une lettre d'attestation des deux témoins, Albane a décidé d'attaquer la société Kookaï devant les prudhommes pour licenciement abusif.

« Profondément choquée par cette interpellation menaçante »

Le cabinet de Nadine Morano a d'abord indiqué qu'elle ne souhaitait faire « aucun commentaire sur cet événement ».

Puis dans la soirée la ministre a publié un communiqué où elle raconte qu'au moment de prendre sa pause, la vendeuse aurait crié :

« Il y a Nadine Morano dans le magasin, si quelqu'un veut aller lui casser la gueule. »

« Profondément choquée par cette interpellation menaçante, insultante et blessante“la ministre précise avoir ‘demandé des excuses à cette vendeuse en rappelant le droit au respect pour tout client, quel que soit son statut’.

Selon elle, l'employée a ‘reconnu la gravité de ses propos déplacés en présence de la directrice adjointe du Printemps et a fait part de ses excuses’.

‘Les faits en sont restés là’,insiste Nadine Morano, en précisant que le licenciement de la vendeuse ‘relève de la seule appréciation et de la seule responsabilité de son employeur’, avec lequel elle n'a eu ‘aucun contact’.

Une visite privée au Louvre, pour sa fille

La ministre s'était illustrée au début du mois de mai en exigeant, dans l'heure, une visite privée et accompagnée du Louvre pour sa fille et une amie.

Une demande pour une visite VIP à 500 euros qui s'était retrouvée dans Le Canard enchaîné (édition du 18 mai), conformément à la prédiction de l'administrateur général du Musée.

 ? Mis à jour le 30 mai à 22h30. Ajout du communiqué de Nadine Morano

 

 


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#17 Re:

2012-01-25 09:59:18

#1: -  

 Cette triste histoire comme l'ont bien résumée certains riverains est encore une illustration de la connerie immuable de ces puissants dont on devrait définitivement se débarrasser.
En ce qui concerne le licenciement d'Albane pour faute grave avec mise à pied, il est plus que léger. S'il n'y avait pas de faits similaires antérieurs à lui reprocher ( rien n'est mentionné sur ce sujet dans la lettre de licenciement), son employeur devrait sans l'ombre d'un doute perde aux prud'hommes. Ne pouvant pas ignorer la jurisprudence en la matière, la société KOOKAI a décidé de faire du zèle pour faire plaisir à la ministre. Un boycotte total de cette marque me semble la seule sanction citoyenne juste.
Pour soutenir Albanne, faites marcher vos contacts pour lui retrouver rapidement un travail sur Nancy.


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#20 Re:

2012-01-25 10:15:00

#1: -  

 

NADINE MORANO : UN COMPORTEMENT SCANDALEUX !  (LE SCANDALE DU JOUR) posté le mercredi 25 janvier 2012 07:59

Un cortège officiel, accompagnait vendredi dernier la Ministre de l’apprentissage, Nadine Morano. Toutes sirènes hurlantes, le convoi escortant une berline dans laquelle se trouvait la Ministre, roule en contre-sens vers le Sud. Un motard de l’escorte renverse un piéton : un jeune étudiant de 25 ans qui se retrouve après deux jours de coma, avec une double fracture du crâne.

Elle se rendait chez elle, à Toul. Il s’agit d’un voyage personnel. Paris-Nancy, en TGV, c’est 1 h 30 et Nancy Toul, 20 minutes en voitures.

Pourquoi tant de privilèges pour les Ministres ? les voyages personnels doivent-ils être pris en charge par les contribuables ? Quel est le coût d’un tel voyage : avion privé, escorte ? Il faudrait obliger les ministres à plus de mesure quand il s’agit de leurs voyages personnels. Il n’est pas honteux de prendre un TGV : le coût d’un aller retour, en 1ère classe, ne lésinons pas, coûte 102 € ! Est-ce trop pour le budget d’un Ministre ? 


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#27 Re: http://www.petitions24.net/pour_le_depart_immediat_dans_une_autre_dimension_de_nadine_morano

2012-01-25 13:14:43

#1: -  

 http://www.rue89.com/2011/07/21/quest-devenue-la-vendeuse-viree-apres-avoir-blague-sur-morano-215126?sort_by=thread&sort_order=ASC&items_per_page=50&page=1

Qu'est devenue la vendeuse virée après avoir blagué sur Morano ?

 

Fin mai, Rue89 révèle qu'Albane, vendeuse Kookaï au Printemps de Nancy (Meurthe-et-Moselle), est licenciée pour faute grave après avoir blagué, un mois plus tôt, sur Nadine Morano, venue faire du shopping avec sa fille. L'article suscite beaucoup de réactions, surtout hostiles à la ministre chargée de l'Apprentissage et de la Formation professionnelle, qui se défend à la radio et à la télé. Puis, la communication de Morano portant ses fruits, la polémique s'est éteinte. Et pour Albane plus rien. Aujourd'hui, elle est toujours au chômage. Avec le recul, elle analyse :

« Je ne regrette rien. Au contraire, je suis contente d'avoir pu raconter ce qui m'est arrivé et d'avoir fait réagir Nadine Morano.

Mais j'aurais bien voulu qu'elle s'intéresse vraiment à ma situation de chômeuse aujourd'hui, elle qui travaille au ministère du Travail. Au lieu de ça, elle s'est faite passer pour la victime, racontant partout que je l'avais insultée, ce qui est faux. »

Albane a apprécié les nombreux soutiens qu'elle a reçus :

« J'ai eu un pincement au cœur, en réalisant que j'étais écoutée, que des gens comprenaient ma situation. J'ai reçu beaucoup de soutiens : des messages sur Facebook, des courriers d'associations promettant de m'aider, des gens que je croisais dans la rue. »

« Ruquier n'était même pas au courant de mon histoire »

En revanche, le passage de Nadine Morano à l'émission de Laurent Ruquier « On n'est pas couché » du 11 juin lui laisse un goût amer.

« Laurent Ruquier n'était même pas au courant de mon histoire, il s'est contenté de reprendre à son compte la version de la ministre. Elle m'a traitée de menteuse. Ça m'a fait du mal de voir que personne ou presque ne contredisait la version de la ministre. J'en ai pleuré ! » (Voir la vidéo)

 

Lors de cette émission, aucun des journalistes présents en plateau n'oppose à la ministre la version d'Albane, à savoir une bête plaisanterie tirée d'une conversation privée. L'animateur, visiblement peu informé, a même cru bon de dispenser une leçon de morale à la vendeuse.

Une tentative de médiation, ignorée par Morano ?

 

Albane contre-attaque :

« Nadine Morano veut faire croire que je cherche à aller vers les médias. Mais avant la médiatisation de toute cette affaire, c'est moi qui ai cherché à discuter par le biais d'une médiation, à laquelle elle n'a jamais répondu. Ça elle se défend bien de le dire. » (Télécharger le courrier de médiation, daté du 2 mai 2011, soit moins d'un mois avant l'incident)

Quelques jours après l'émission de Ruquier, la mère d'Albane a envoyé un courrier au bureau du Premier ministre, indignée qu'une chaîne de télévision publique traite cette affaire de façon si partiale.

Même si un journaliste lui a dit que l'affaire était arrivée jusqu'aux « oreilles du président de la République ». Le bureau de François Fillon s'est simplement fendu d'une réponse formelle.

« Que les prud'hommes reconnaissent l'abus »

Après avoir essuyé plusieurs réponses négatives à ses nombreuses demandes, Albane est toujours à la recherche d'un emploi. L'ancienne vendeuse s'interroge :

« Peut-être que c'est un effet pervers de la médiatisation ou alors, c'est dû à la conjoncture actuelle. »

Sa situation financière s'est dégradée. Elle envisage de monter une socièté avec un ami, même si elle n'a pas le début d'un financement. Albane attend également l'audience de conciliation avec Kookaï devant le conseil des prud'hommes, prévue pour le 9 septembre :

« Financièrement, j'aimerais retomber sur mes jambes, même si on ne demande pas énormément avec mon avocat, le minimum légal. Mais je veux surtout qu'ils reconnaissent qu'il y a eu de l'abus dans ce licenciement. »

La direction de Kookaï n'a pas souhaité commenter l'affaire, ni l'audience de conciliation, « pour ne pas alimenter le débat ». Contactée à de nombreuses reprises, Nadine Morano n'a pas non plus voulu répondre aux sollicitations de Rue89.

 

 

► Correction 21/07/2011 à 10h3. Comme signalé par les riverains dans les commentaires, un licenciement pour faute grave n'entraine pas, du point de vue de la loi, l'absence d'allocations chômage.


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#45 Re:

2012-01-25 22:40:05

#1: -  

 Je produis sur mon blog
http://karlcivis.blog.lemonde.fr/2012/01/06/actualite-nadine-morano-...-quand-elle-etait-deputee/
quelques documents relatifs à ses premières apparitions sur la scène nationale, en tant que nouvelle députée ( extraits du Compte rendu intégral des débats de l'Assemblée nationale

oui

#55 Re:

2012-01-26 10:01:29

#1: -  

 

 

#25: tactac -  

 

 

Morano, accident: un piéton renversé par une moto du convoi de la ministre

Première Publication: 25/01/2012 08:13 Mis à jour: 25/01/2012 12:09