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#8546 http://www.petitions24.net/comitedesoutiendsk - SIGNER CETTE PETITION

2012-02-18 18:28

"Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs." Article 35 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1793

samedi 18 février 2012

Sarkozy à Marseille en 2007: un meeting à 333.538 euros


Dimanche, pour le premier des «Sarko shows» géants, programmé au parc Chanot de Marseille, l'UMP promet de ridiculiser le Bourget de François Hollande. En 2007, c'est dans cette salle que le champion de la droite avait livré son dernier discours de campagne, 72 heures avant le premier tour. A l'époque, le coût de l'opération avait atteint 333.538,22 euros. Comment brûler tant d'argent en si peu de temps ? Pour comprendre, Mediapart publie en exclusivité les factures du meeting de 2007, enfouies dans le compte de campagne de Nicolas Sarkozy – 27 cartons en tout, déposés sur les bureaux de la CNCCFP (la commission nationale chargée de contrôler les dépenses et recettes de tous les candidats). 

 
Sarkozy Location Chanot 2007


Si l'ensemble de ces documents ont été saisis en décembre par les juges bordelais qui instruisent le volet politico-financier de l'affaire Bettencourt, Mediapart avait pris soin d'en photocopier une partie(voir les détails dans la Boîte noire). Pour observer la prestation de dimanche avec un œil averti, voici donc une sorte de radiographie comptable du meeting du 19 avril 2007 : tout ce que Nicolas Sarkozy a dépensé poste par poste, de son maquillage à sa «sécurité médicale», en passant par les cars de militants.

Ces chiffres pourraient paraître anecdotiques, si la moitié des frais engagés au fil de la campagne n'avaient été remboursés par l'Etat (10,8 millions sur 21 millions de dépenses, comme le prévoit la loi). Si ces factures, surtout, n'avaient pas été signées par Eric Woerth en personne. A l'époque, le député de Chantilly, trésorier de l'UMP, présidait l'Association de financement de la campagne de Nicolas Sarkozy (AFCNS), sise rue La Boétie ; depuis le 9 février, il est mis en examen pour «trafic d'influence passive» et «recel» de 150.000 euros d'argent liquide au bénéfice de l'AFCNS, une somme présumée soutirée à Liliane Bettencourt. Au passage, le nom de l'expert-comptable qui a revu le compte avant sa livraison à la Commission vaut le détour : Bernard Godet, décoré le 13 juillet 2008 de la Légion d'honneur sur le contingent du ministre du budget d'alors, Eric Woerth.

A l'époque, Nicolas Sarkozy avait déboursé en tout 12,38 millions d'euros en réunions publiques. Pendant des mois, le matériel avait circulé dans un semi-remorque d'une ville à l'autre, avec une «fly-caisse» en plexiglas pour protéger le pupitre sur-mesure du candidat, se souvient un prestataire.



 
Au parc Chanot de Marseille, le 19 avril 2007© Reuters 
 
Ce 19 avril 2007, à Marseille, des milliers de spectateurs débarquent eux aussi en cars – au moins 67 ont été affrétés pour plus de 39.000 euros, auxquels s'ajoutent des «frais de déplacement divers». Nicolas Sarkozy, pour sa part, semble voyager en jet, puisqu'on retrouve une location d'« avion » à 37.769 euros.

La salle (la même que celle réservée dimanche) coûte alors 59.325 euros TTC – prix comprenant la location de 6500 m2 « nus », le montage/démontage des structures, 2.794 euros de cloisons (pour la loge du candidat par exemple), le nettoyage («enlèvement des moquettes jetables non compris»), etc. L'aménagement en mobilier (chaises, etc.), assuré par l'entreprise francilienne Jaulin, grimpe à 49.413 euros.

 
 

Réponses


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#8547 http://www.petitions24.net/comitedesoutiendsk - SIGNER CETTE PETITION

2012-02-19 00:23:16

Elections présidentielles obligent, les promesses électorales se multiplient. Et, si nous ne devions n’en retenir qu’une….   

 

Le temps avant l’élection nous laisse croire aux miracles, tant les promesses semblent fleurir. On oublie les mises en garde contre un laxisme ravageur, on ne se souvient plus de la nécessité de souffrir pour réussir à s’en sortir…Et, si dans le lot de ces promesses, celles à venir mais aussi celles passées, nous avions le pouvoir de n’en retenir qu’une…

 

 

 

 

Le choix serait d’autant plus difficile, qu’on ne devrait épargner personne. Alors, devrions nous retenir la promesse, nous garantissant de travailler plus pour gagner plus. On n’ose même pas y croire, même en période de miracle, tant les oubliés de la société se font de plus en plus nombreux. Alors, nous ne retiendrions pas celle –là.

 

Et, si on se plaisait à rêver, que l’Education nationale serait enfin une priorité. Oui, demain, nos enfants bénéficieraient d’un enseignement de qualité leur garantissant réellement l’égalité des chances. Là encore, on n’ose même pas y croire, et on se lamente, en se disant, qu’on est désormais incapable de croire à quoi que ce soit.

 

Inutile de s’interroger sur l’utopie, qui consisterait à vivre dans un monde sans être gouverné par la finance. On se demande alors qui pourrait nous prêter les sommes astronomiques, dont nous avons cruellement besoin.

 

Alors, va pour la valeur travail au centre de la société, et bienvenue aux employés de Lejaby. Par contre, pour les salariés de Florange et autres bassins industriels, il serait plus réaliste de leur indiquer la manière de procéder pour bénéficier de la nationalité indienne.

 

La médecine pour tous… On y a tous cru avec le lancement de la C.M.U Pour les béotiens, qui l’ignoreraient faute d’avoir rencontré les bons professeurs à l’école, la C.M.U. est l’acronyme pour Couverture Maladie Universelle. On l’ a donc créée, et pour la financer, les autres assurés sociaux paient depuis des franchises augmentées régulièrement.

 

Le SMIC à 2000 Euros…la promesse est belle, et égaie nos tristes soirées d’hiver, tout en apportant l’hilarité nécessaire aux soirées passées dehors devant le barbecue en été. Non, nous ne sommes plus assez stupides pour y croire.

 

 

 

On se demande donc bien pourquoi les politiques continuent à nous promettre monts et merveilles, alors qu’on peine simplement à croire, qu’ils se préoccuperont plus de l’état de la France que de leurs petits intérêts personnels.

 

Alors, même en ces temps de désillusion, même si on peine à croire en la sincérité de nos hommes et femmes politiques, prêtons nous au jeu, et retenons une promesse et une seule qu’avec un peu de bonne volonté, notre futur président (et sans se lancer dans un jeu de pronostic) pourrait tenir.

 

Je commence, en espérant lire vos propres réponses d’ici peu. Ey, si notre prochain président respectait la promesse faite par l’actuel occupant de l’Elysée : Plus un seul S.D.F. d’ici à la fin du prochain quinquennat. Un rêve ?  Dommage pour ces exclus de la société, que leur abstention ne puisse pas faire pencher la balance. Elections présidentielles obligent, les promesses électorales se multiplient. Et, si nous ne devions n’en retenir qu’une…. 

  

 

Le temps avant l’élection nous laisse croire aux miracles, tant les promesses semblent fleurir. On oublie les mises en garde contre un laxisme ravageur, on ne se souvient plus de la nécessité de souffrir pour réussir à s’en sortir…Et, si dans le lot de ces promesses, celles à venir mais aussi celles passées, nous avions le pouvoir de n’en retenir qu’une…

 

 

 

 

Le choix serait d’autant plus difficile, qu’on ne devrait épargner personne. Alors, devrions nous retenir la promesse, nous garantissant de travailler plus pour gagner plus. On n’ose même pas y croire, même en période de miracle, tant les oubliés de la société se font de plus en plus nombreux. Alors, nous ne retiendrions pas celle –là.

 

Et, si on se plaisait à rêver, que l’Education nationale serait enfin une priorité. Oui, demain, nos enfants bénéficieraient d’un enseignement de qualité leur garantissant réellement l’égalité des chances. Là encore, on n’ose même pas y croire, et on se lamente, en se disant, qu’on est désormais incapable de croire à quoi que ce soit.

 

Inutile de s’interroger sur l’utopie, qui consisterait à vivre dans un monde sans être gouverné par la finance. On se demande alors qui pourrait nous prêter les sommes astronomiques, dont nous avons cruellement besoin.

 

Alors, va pour la valeur travail au centre de la société, et bienvenue aux employés de Lejaby. Par contre, pour les salariés de Florange et autres bassins industriels, il serait plus réaliste de leur indiquer la manière de procéder pour bénéficier de la nationalité indienne.

 

La médecine pour tous… On y a tous cru avec le lancement de la C.M.U Pour les béotiens, qui l’ignoreraient faute d’avoir rencontré les bons professeurs à l’école, la C.M.U. est l’acronyme pour Couverture Maladie Universelle. On l’ a donc créée, et pour la financer, les autres assurés sociaux paient depuis des franchises augmentées régulièrement.

 

Le SMIC à 2000 Euros…la promesse est belle, et égaie nos tristes soirées d’hiver, tout en apportant l’hilarité nécessaire aux soirées passées dehors devant le barbecue en été. Non, nous ne sommes plus assez stupides pour y croire.

 

 

 

On se demande donc bien pourquoi les politiques continuent à nous promettre monts et merveilles, alors qu’on peine simplement à croire, qu’ils se préoccuperont plus de l’état de la France que de leurs petits intérêts personnels.

 

Alors, même en ces temps de désillusion, même si on peine à croire en la sincérité de nos hommes et femmes politiques, prêtons nous au jeu, et retenons une promesse et une seule qu’avec un peu de bonne volonté, notre futur président (et sans se lancer dans un jeu de pronostic) pourrait tenir.

 

Je commence, en espérant lire vos propres réponses d’ici peu. Ey, si notre prochain président respectait la promesse faite par l’actuel occupant de l’Elysée : Plus un seul S.D.F. d’ici à la fin du prochain quinquennat. Un rêve ?  Dommage pour ces exclus de la société, que leur abstention ne puisse pas faire pencher la balance.