Sauvons le joyau des Jasses à Ferrières-les-Verreries (Hérault) !

Commentaires

#4812

Comme si cela ne suffisait pas, encore une entreprise étrangère qui s’implante chez nous, qui plus est destructrice de notre patrimoine sauvage et cerise sur le gâteau ne paiera pas d’impôts. Quand les douze à quinze premières années seront bien fructueuses et que les poches seront pleines, pour ne pas s’acquitter de sa contribution, cette entreprise s’installera dans un autre lieu pour aussi le dévaster, le dévisager, en nous laissant une ruine écologique. Que font ses écologistes de pacotille qui se trouvent au ministère, et bien, ils s’en mettent plein les fouilles !!

(GANGES, 2019-01-08)

#4818

Je connais ce type de truffières, habitant dans le Tricastin. Arbres plantés en lignes, espace entre les rangées d'arbres sans cesse "entretenu" et n'hébergeant presque pas d'espèces...En tant que naturaliste et photographe amateur, je n'y vois ni photographie jamais rien. Peu à peu les truffières sont enfermées derrière de hauts grillages qui condamnent aussi la circulation des animaux. Seul le geai des chênes pourra s'accomoder d'un tel milieu.

(GRIGNAN, 2019-01-08)

#4824

La culture de la truffe n'est pas contradictoire avec les paysages locaux du Sud de la France. Au XIXe siècle, la production truffière était beaucoup plus importante qu'aujourd'hui et les paysages étaient parsemés de petites truffières. Néanmoins, il s'agissait de petites structures familiales et la culture de la truffe était complémentaire à d'autres activités rurales. Le problème ici relève de la taille de l'exploitation et de son impact important sur la ressource en terre cultivable pour d'autres activités et sur la ressource en eau, car pour atteindre des rendements suffisants, il est nécessaire d'irriguer les parcelles. Il relève également, et c'est peut être ça le pire, de la déstructuration d'un tissu économique local déjà fragilisé. Les petites exploitations actuelles ne pourront pas rivaliser avec un tel projet. Je signe donc cette pétition en espérant que ce type de projet ne soit pas permis !

(Saint Hippolyte du fort, 2019-01-08)

#4825

Pour éviter une nouvelle catastrophe écologique, économique et humaine !

(Lasalle, 2019-01-08)

#4841

c'est inacceptable

(Nîmes, 2019-01-08)

#4844

Je m'oppose aux fermes géantes agricoles ou animales. Je suis en faveur d'une agriculture respectueuse de l'environnement ( bocages, agriculture raisonnée, respect des ressources en eau, profits aux agriculteurs locaux).

(Sévérac d'Aveyron, 2019-01-08)

#4845

Connaissant parfaitement cette région et m'y rendant très régulièrement, je suis contre ce projet vraiment contre nature aux deux sens du termes. Destruction d'une richesse naturelle et spéculation au détriment du paysage.
NON NON à ce projet

(97228, 2019-01-08)

#4851

Je suis nouvelle propriétaire sur Cazilhac et j'aime ce coin et ses paysages comme il est actuellement nous n'avons pas envie de ce genre d'investissement financier qui n'apporte rien a la populationil serait préférable que ces terres soit vendues a des agriculteurs bio du coin.

(Cazilhac, 2019-01-08)

#4854

Je signe car le patrimoine français passe obligatoirement par notre terroir et la beauté de notre paysage. C'est une honte de vendre cela à des investisseurs internationaux, surtout pour la détruire! De plus je vais m'installer à 15 km de ce village en 2019 d'une part pour la nature des environs!

(paris, 2019-01-08)

#4860

Il plus que grand temps d'arrêter ces projets de défrichement de zones naturelles notamment dans ces zones où la végétation est si fragile. Le projet de planter des chênes truffiers de "rendement" en garrigue languedocienne est un projet complètement hasardeux sachant que le recours à l'irrigation ne pourra vraisemblablement pas être mené à son terme années après années (coûts, ressource en eau disponible inadéquate avec la période de besoin maximal lors de la pousse des chênes, nécessité de protéger les ressources en eau pour des usages certainement prioritaires, et prévision d'évolution du climat,). Ces terres doivent être réservées à des valorisations par le pastoralisme seule activité agricole permettant de valoriser ce type de végétation. C'est bien en s'appuyant sur les savoirs faire pastoraux et en soutenant ce type d'élevage qu'une alternative à l'élevage industriel pourra enfin être trouvée.

(Chavanat 23250, 2019-01-08)

#4863

Stop à l'agrobusiness !
Laissez mon beau pays tranquille.
Ras-le-bol du pognon ....

(30250, 2019-01-08)

#4868

Laissez la garrigue en paix s'il vous plaît

(Saint Martin de Londres, 2019-01-08)

#4870

Je signe cette pétition parce que j'adore cette région et que je ne veux pas du tout qu'elle soit saccachée pour y faire une trufficulture. C'est aberrant et doit être stoppé par tous les moyens

(Claret, 2019-01-08)

#4871

Y en a marre du fric qui dirige et domaine tout le reste, contre les bienfaits de la faune et la flore. et j en passe.....

(gruissan, 2019-01-08)

#4875

Non à la spéculation internationale sur le foncier agricole et à la destruction du patrimoine naturel !

(montpellier, 2019-01-08)

#4876

la nature est belle lorsqu'on la laisse en paix

de plus les truffes cultivées ont mauvais goût !

(aulas, 2019-01-08)

#4879

PRIORITÉ AUX AGRICULTEURS LOCAUX
RESPECT DE L’ENVIRONNEMENT,

(Claret, 2019-01-08)

#4884

Le texte de la pétition est suffisamment explicite. J'y adhère.

(Montpellier, 2019-01-08)

#4886

Je signe car il est temps d'arrêter de produire des biens de consommation de luxe , luxe que nous ne pouvons plus nous permettre si l'on veut pouvoir continuer à vivre en bonne santé sur notre planète. On consomme trop ! et en plus pour enrichir les plus riches.

(AUBAGNE, 2019-01-08)

#4887

Je signe car les produits du terroir doivent garder leur authenticité, parce que " l'agriculture industrielle" détruit la biodiversité et les terroirs et les hommes qui y travaillent et y vivent depuis toujours.

(Sartène, 2019-01-08)

#4897

Je signe pour la préservation du patrimoine Héraultais. Il s'agit de paysages magnifiques où un tel projet impliquant défrichage et fragmentation n'a pas sa place.
De plus la région connait de forts épisodes de sécheresse. La mise en place d'une telle culture risque donc de causer des changements irréversibles sur les ressources en eaux de ce secteur réputé.
Je suis donc contre ce projet.

(Chambery, 2019-01-09)

#4909

Je suis éleveur ovins la garrigue nourrit nos animeaux les éleveurs ont besoin de ces terres je n en dirais pas plus

(Causse de la selle , 2019-01-09)

#4919

marre des entreprise qui de paye pas d’impôt
qui déplace nos bergers

(st laurent le minier , 2019-01-09)

#4926

parce que je ne veux pas voir la transformation de "ça" en "ça" ??
Protégeons et maintenons en son état sauvage et actuel notre belle garrigue !!

(SAINT GELY DU FESC, 2019-01-09)

#4936

Je signe car il y en a marre que la nature ne sert plus qu'à des investissements et à enrichir des personnes qui se moquent de la faune. Mais que fait notre ministre de l'écologie pour mettre fin à ce cataclysme plutôt que de s'occuper à nous taxer sur le carburant et sur le chauffage (+ de 35% de taxe sur l'électricité pourtant soi-disant le mode le plus écologique, cherchez l'erreur ). Il ferait mieux de taxer cette entreprise à sa juste valeur et peut être que que ce magnat de la truffe regagnera ses pénates.
Bon courage dans votre lutte.
JMF.

(Lacroix Saint Ouen , 2019-01-09)

#4938

Le pic St Lou est un endroit trop beau ne l abimons pas merci

(Montpellier , 2019-01-09)

#4941

Parce qu'il y en a vraiment marre de sacrifier les espaces préservés ou agricoles à la loi du pognon (voir aussi EuropaCity en région parisienne)

(Colmar, 2019-01-10)

#4944

Je signe car je n'accepte pas que le patrimoine naturel soit détruit pour de seules considérations financières et de plus que ces destructions soient réalisées pour de futurs profits à des investisseurs étrangers qui ne connaissent absolument pas la richesse de l'arrière pays montpelliérain et du Pic Saint-Loup.
Osons nous opposer au "Détruire pour s'enrichir" et défendons les valeurs et les richesses locales. Ce sont celles-ci qui font que des jeunes restent ou s'installent dans notre territoire !

(LAURET, 2019-01-10)

#4947

Je signe car il y en a plus que ras le bol de ces gros empaffés qui détruisent tout pour engraisser des comptes en banque!
Merci à vous tous qui vous dressez contre eux!

(Saint-Affrique, 2019-01-10)

#4950

Respect de la nature

(Saint jean de Buèges , 2019-01-10)

#4951

Je signe parce que je suis formellement opposée à ce projet qui ne peut que dénaturer notre environnement proche et présente une atteinte grave à l'équilibre naturel du secteur.

(CLARET, 2019-01-10)

#4953

ras le bol qu'on détruise la nature pour spéculer

(claret, 2019-01-10)

#4964

Il faut préserver au maximum les écosystèmes existants

(Saint Hippolyte du Fort, 2019-01-10)

#4967

pour l'évidence du respect de la nature, infiniment précieuse avant le profit!!!
jusuq'à quand nous comporterons-nous comme des gens "hors sol "?????

(montpellier, 2019-01-10)

#4975

il est urgent de garder ou de revenir à une agriculture nourricière, locale et durable où l'humain a sa place, qui respecte les paysages et les écosystèmes

(orgon, 2019-01-10)

#4978

Je signe parce que je le trouve très important de sauvegarder les écosystèmes qui n’ont pas encore été détruits et de promouvoir des solutions locales pour la fourniture de l’alimentation et la création d’emplois. Je connais la région des Jasses et il serait tragique de la perdre aux intérêts d’investisseurs. Je milite dans une association écologiste - Sauvegarde du Salaves - qui est engagé dans une longue bataille contre la destruction d’un habitat d’une centaine d’hectares dans une ZNIEFF dans notre commune de Sauve.

(Sauve , 2019-01-10)

#4982

inadmissible qu'un site aussi beau soit détruit pour des spéculateurs... NON ! nous ne les laisserons pas faire !

(Corconne, 2019-01-10)

#4994

marre de voir les investisseurs étrangers s'emparer de nos terres pour les détruire tout ça pour le fric

(SAINT PAUL TROIS CHATEAUX, 2019-01-11)

#4996

Protection du territoire et de nos valeurs locales

(ST MARTIN DE LONDRES, 2019-01-11)