DSK Soutien Pétition pour le soutenir

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2012-02-20 00:39

Comité de soutien à Dominique Strauss-Kahn

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Le 8 janvier 2012

C'est avec beaucoup de plaisir et d'amitié qu'une grande partie des membres fondateurs de ce comité de soutien ont pu saluer Dominique Strauss-Kahn ce matin à Sarcelles, à l'occasion des voeux du Maire de la ville. Nous nous félicitons du chemin parcouru depuis mai dernier sur la voie de sa réhabilitation, chemin que nous continuerons de parcourir à ses côtés.

 

 

 

 

Les amis de Dominique Strauss-Kahn de Sarcelles, du Val d'Oise et d'ailleurs.

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"DskGate : du complot politique en coup d’Etat !

Le courage, c'est de chercher la vérité et de la dire. « Jean Jaurès »

« DSK explosera en vol… Il sera pulvérisé par une bombe atomique, une déflagration, un tsunami. Cela se produira en mai. Il ne pourra même pas participer aux primaires du PS. » Propos rapporté par Michel Taubmann et tenu à l’Assemblée nationale le 06 avril 2011 par une femme travaillant pour un grand ministère de la République française, soit quatre semaines avant les évènements de New York.

Dominique Strauss-Kahn a été victime du “feu nucléaire” et ça, ce n’est plus un secret de polichinelle. DSK était l’homme à abattre, DSK était l’homme que Nicolas Sarkozy ne voulait pas avoir en face durant la campagne électorale présidentielle, DSK était et reste toujours l’homme politique le plus dangereux pour le président actuel et il le restera jusqu’à la clôture des dépôts de candidature à la mi-mars. Il n’y a qu’à voir la pression journalistique à son égard et surtout la presse proche du pouvoir actuel.

Comme le Figaro, qui est le journal attitré du président sans l’ombre d’un doute, ce journal qui est toujours le premier à être au courant de tout ce qui se passe concernant les affaires DSK et comme il le dise si bien dans cet article ou d’autres, “L'information a été confirmée au Figaro de source proche du dossier.” Source proche du dossier ? Quel source proche ? Ce même journal et son directeur, Etienne Mougeotte, “Il avait alors dit que le journal, n'était pas là pour "emmerder la droite" et que les journalistes qui n'étaient pas "à l'aise" pouvaient postuler à Libération.” Donc son journal n’est pas là pour “emmerder” la droite, mais elle est là pour “emmerder” la gauche !

Le journal France Soir, s’attaque à Anne Sinclair : “DSK devant le juge : Anne Sinclair fait le minimum. Le site d'Anne Sinclair se contente d'un traitement sobre de la convocation de DSK mardi 21 février.”, et vous y trouverez dans leur article, le summum de la lâcheté et du mensonge : “Le site, qui a pour directrice de l'information Anne Sinclair, l'ex-compagne de Dominique Strauss-Kahn”. L’ex-compagne ? De quel droit il attaque Anne Sinclair dans sa vie privée ! De quel droit il affirme qu’elle est l’ex-compagne ?

L’Express et Christophe Barbier, qui lui ne se gène pas de publier en faisant passer un certificat de santé comme d’une preuve de l’agression sexuelle de Nafissatou Diallo par DSK et on s’est tous à présent que ce certificat ne confirmait pas l’agression mais confirmer simplement une manipulation grossière de son auteur, et ainsi que l’affaire Banon, celle-ci serait très proche de la famille Barbier et aussi de l’UMP…

Et on dit que la presse française est libre ? On dit que la presse française n’est pas accrochée au pouvoir ? On dit que la presse française est neutre ? Oui, dans vos rêves !

Le groupe Accor et le Sofitel, très proche aussi de Nicolas Sarkozy, la danse de joie de deux employés du Sofitel révélé par l’enquête du journaliste américain Edward Epstein, et c’est toujours le même journaliste qui nous a révélé que le BlackBerry de DSK avait disparu et en plus, son GPS déconnecté, non pas par DSK lui-même mais par un employé de la sécurité de l’hôtel qui se trouvait dans la suite 2806 vide de son occupant, silence et bouche cousue de la part du groupe Accor. Nous avons découvert aussi que des e-mails de DSK se seraient retrouvés dans les mains de hauts dirigeants de l’UMP et que DSK voulait faire expertiser ses téléphones dès son retour à Paris et ce jour-là, comme par hasard, Nafissatou Diallo entre dans la suite de DSK, alors qu’elle n’avait rien à y faire du moment que le client occupait toujours la suite, silence et bouche cousue de la part de Diallo et de l’UMP. Il y a aussi l’inconnu qui occupait la chambre 2820, chambre voisine de celle de DSK et dont Nafissatou Diallo s’y est rendu à plusieurs reprises avant et après les faits, et encore une fois, silence et bouche cousue de la part du groupe Accor et de Diallo. Le groupe Accor qui n’a jamais voulu collaborer avec les avocats de DSK et pire que cela, ils ont refusé que les avocats entrent dans la suite de DSK, ils ont refusé qu’ils posent des questions aux personnels de l’hôtel, ils ont fait obstruction à l’enquête... La liste des zones d’ombre n’est pas exhaustive et d’ailleurs dans cette histoire il n’y a que des zones d’ombre !

Nous pouvons soupçonner l’Elysée et les services secrets français d’avoir mis sur écoute et d’avoir surveillé de très près DSK. Toutes ces affaires ne sont pas venues par hasard, toutes ces affaires ont une seule convergence, qui est l’Elysée et Nicolas Sarkozy !

S’il y a encore des Français qui doutent encore de ce qui est arrivé à DSK à New York avec Nafissatou Diallo/Sofitel, l’affaire Banon et puis l’affaire du Carlton, ceux qui doutent encore que tout ceci est simplement le fruit du hasard, c’est alors que vous avez vos oreilles bouchées et vos yeux bandés et dans ce sens, vous encouragez les politiques “élus” par le peuple de se comporter comme des “voyous”, vous acceptez que certains hommes politiques violent impunément les lois de la République et donc, vous acceptez aussi que ces hommes politiques vous bafouent en vous privant de vos droits et surtout de vos devoirs, et vous serez donc d’accord de vivre dans une république bananière et de perdre par ce fait, notre démocratie plus que centenaire.

Si vous êtes d’accord avec tout ceci, alors bienvenue dans la France bananière, car aujourd’hui nous vivons dans un pays qui n’est que l’ombre d’elle-même et dont la loi de la République est constamment bafouée par ceux qui nous gouvernent et qui l’ont voté !

Si vous n’êtes pas d’accord avec tout ceci, alors à ce moment-là, il faudrait s’exprimer plus “bruyamment” que cela et de demander à qui de droit de nous rendre des comptes, car c’est notre devoir et notre droit à tous. Ce silence assourdissant à plus que durer !"

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2012-02-20 01:09:53

EXCLUSIFComment le PDG d’EDF et le chef de l’Etat s’activent pour parachuter l’ex-ministre à la tête du géant de l’environnement.

Par Éric Decouty

 
Le président Nicolas Sarkozy et le patron d'EDF Henri Proglio à l'île de la Réunion le 19 janvier 2010. (© AFP Gerard Cerles)

Entre le grand patron et le Président ce n’était qu’un petit arrangement entre amis. Un donnant-donnant destiné à préserver les intérêts de chacun à la veille de l’élection présidentielle et d’un conseil d’administration décisif. Nicolas Sarkozy et Henri Proglio, le PDG d’EDF, tenaient simplement à ce que leur deal soit frappé du sceau du secret. Au point que même Xavier Musca, le secrétaire général de l’Elysée semble avoir été tenu à l’écart de la «transaction»…

Les faits sont simples. En début de semaine dernière, Nicolas Sarkozy et Henri Proglio se seraient entendus pour qu’Antoine Frérot, le PDG de Veolia, soit débarqué de la société spécialisée dans l’eau, le traitement des déchets et les transports et remplacé par Jean-Louis Borloo, l’ancien ministre de l’Environnement et président du Parti radical. Ils ont même envisagé que l’affaire soit conclue le 29 février lors du conseil d’administration de Veolia. Proglio comptait ainsi reprendre la main sur son ancienne entreprise, et Sarkozy espérait bien gagner en retour le soutien public du leader du Parti radical.

Si les termes de l’accord paraissent simples, les coulisses sont beaucoup plus complexes. Proglio, tout d’abord. Longtemps patron de Veolia, il tente d’en garder les commandes lors de sa nomination à la tête d’EDF, fin 2009, grâce d’ailleurs au soutien actif de Jean-Louis Borloo, ministre de l’Environnement. Sa double casquette et sa double rémunération ne résistent cependant pas à la polémique, et un an plus tard l’ami du Président, un des principaux convives du Fouquet’s, doit céder la présidence de Veolia à son lieutenant Antoine Frérot. Dès lors les relations entre les deux hommes ne vont cesser de se détériorer. Toujours administrateur, Proglio qui connaît tout d’une entreprise qu’il a modelée, va très vite contester la gestion de son successeur. Frérot, lui, se met en tête de solder le passé et de régler progressivement certains dossiers encombrants laissés par son prédécesseur. La rupture est consommée et, au moment où le groupe des services à l’environnement pourrait afficher 200 millions d’euros de perte, Henri Proglio choisit d’organiser l’éviction d’Antoine Frérot.

sauvetage. Restent les moyens d’y parvenir. Le PDG d’EDF va alors user de son amitié avec Nicolas Sarkozy et Jean-Louis Borloo en même temps que des intérêts stratégiques du président-candidat. Selon nos informations, le dimanche 12 février Proglio et Sarkozy se rencontrent discrètement à l’Elysée. L’objet de la discussion porte sur le sauvetage par EDF de la société Photowatt, l’entreprise de panneaux solaires installée à Bourgoin-Jallieu dans l’Isère. Henri Proglio s’est un peu fait tirer l’oreille pour racheter la société et reprendre près de 350 salariés avant de céder devant l’insistance du chef de l’Etat. Mais ce dimanche, la discussion entre les deux hommes a tôt fait de glisser sur le «cas Borloo». La réaction de l’ancien ministre de l’Environnement à l’interview du président de la République sur «les valeurs» dans le Figaro Magazine, n’est pas passé inaperçue. Borloo s’est clairement dit en désaccord avec le refus de Nicolas Sarkozy de se prononcer en faveur du mariage gay. Il s’est également déclaré hostile à tout référendum sur le chômage ou l’immigration. «Moi je ne suis pas d’accord», a-t-il dit devant une poignée d’élus de la majorité dans le Nord. Nicolas Sarkozy et Henri Proglio évoquent alors clairement le nom de Jean-Louis Borloo pour prendre la présidence de Veolia, histoire de se «réconcilier» avec un ami.

Mais l’histoire semble s’être vraiment jouée le mardi 14 février, dans l’avion. Proglio et Sarkozy viennent de sceller publiquement la reprise de Photowatt. L’entreprise iséroise est sauvée et Proglio entend bien remettre le dossier Veolia sur le tapis. En substance le patron d’EDF propose à Nicolas Sarkozy d’organiser une offensive visant à convaincre un certain nombre d’administrateurs de retirer le pouvoir à Antoine Frérot. Plus concrètement Henri Proglio compte demander la révocation du PDG de Veolia, lors du conseil d’administration du 29 février et faire nommer dans la foulée Jean-Louis Borloo. Dans l’avion du retour de Bourgoin, Proglio plaide auprès de Sarkozy pour un soutien des actionnaires qataris, qui détiennent 5% du capital. Le président de la République a-t-il téléphoné «à ses amis du Qatar, qui ne peuvent rien lui refuser, dès le jeudi», comme l’affirment certaines sources proches du dossier ? Nulle confirmation ne nous a été apportée. En revanche, les derniers jours de la semaine dernière ont donné lieu à un important lobbying pour convaincre les administrateurs du groupe d’environnement. Alain Minc, proche de Nicolas Sarkozy, aurait au passage été contacté pour «faciliter un certain nombre de rendez-vous.» Toujours selon nos informations, recoupées, au moins cinq membres du conseil d’administration, parfaitement identifiés, auraient rencontré Jean-Louis Borloo, jeudi et vendredi dernier. Parmi eux, Augustin de Romanet, soutien dévoué qui fut son directeur de cabinet au ministère de l’Emploi en 2004.

Sollicités par Libération, plusieurs de ces administrateurs ont confirmé ces rendez-vous, et au moins un d’entre eux aurait exprimé ses plus «froides réserves» quant à «l’opération Borloo.» Reste que ces «rencontres», plus ou moins discrètes, ont largement permis d’éventer le secret, un administrateur étant même convié par Jean-Louis Borloo, vendredi après-midi au siège du Parti radical…

Nul des principaux acteurs de l’affaire ne veut pour autant confirmer les faits. Henri Proglio n’a pas donné suite à notre appel, et Alain Minc s’est contenté de nous répondre qu’on «ne prêtait qu’aux riches». En revanche Jean-Louis Borloo a accepté de s’exprimer plus longuement. S’il dit «tout ignorer» d’éventuels accords entre Nicolas Sarkozy et Henri Proglio, il ne conteste pas certaines rencontres avec des «gens de Veolia». «La seule chose que je peux vous affirmer, dit Borloo, c’est qu’actuellement je suis chassé par deux grands groupes internationaux qui ne sont pas Veolia. Et avec eux, les contacts sont très avancés.» Est-il malgré tout intéressé par la direction du groupe d’environnement ? «C’est une société que je connais bien en tant qu’ancien ministre. Ils connaissent des difficultés et si j’en crois ce qui se dit, il y a un certain nombre d’actionnaires qui pensent que le groupe a besoin d’un calibre à sa tête». Serait-il ce calibre ? Silence !

confidence. Quant à la main de l’Elysée derrière son éventuelle nomination : «Vous voulez rire ? C’est un groupe avec des procédures strictes. Les choses ne se font pas comme ça.» Jean-Louis Borloo réfute également tout marchandage de son soutien à Nicolas Sarkozy et glisse une confidence… «J’ai dit ce que j’avais à dire l’autre jour sur les valeurs. Maintenant, le Parti radical se situe évidemment plutôt dans une famille que dans l’autre…» Bref Nicolas Sarkozy n’a guère de craintes à avoir.

«L’affaire Veolia», quelle que soit son issue pourrait-elle marquer la fin de la carrière politique de Borloo ? «J’ai déjà dit que je ne serai plus ministre. Aujourd’hui, je m’apprête à passer à autre chose.» Une affirmation qui fait rire un de ses amis très proche : «Evidemment qu’il va continuer la politique !»

Enfin, l’entourage du chef de l’Etat, mobilisé hier, par le meeting de Marseille n’a pas donné suite à nos appels.