NON à l'usine de METHANISATION à LA TORCHE !

Savez-vous que l'implantation d'une usine (quelle soit pour la méthanisation ou pour un autre projet) à proximité de nombreuses habitations et d'un lotissement créera automatiquement une dévaluation importante (jusqu'à moins 50%) de ces biens. Interrogez un notaire ou un agent immobilier et vous verrez le résultat. La méthanisation peut être un bon choix écologique mais attention à son emplacement! A La Torche, sûrement pas!!!
Un riverain.

La méthanisation peut être un bon choix ECONOMIQUE c est tout !!!( et encore la rentabilité est loin d etre prouvée pour une petite centrale comme celle de kaandorp and co, avec ... pour l instant... un apport de moins de 30T / jour)
Pour l ECOLOGIE cela n est meme pas moins pire!
Défendons nos terres , des agriculteurs-pollueurs, à la Torche ou ailleurs.

Ce qu'il faudrait, c'est prendre connaissance de l'étude d'impact qui a dû être faite et l'étudier en profondeur.
Il y a des systèmes de recyclage de déchets intelligents et qui s'adapte à l'environnement. Il faut voir ce qui est prévu.

Ras le bol des destructeurs de la nature qui ne pensent qu à leurs profits.

Sans discussion!!

Non c'est non!

Ça me dégoûte de voir des conneries pareil! Une honte!

Une usine de méthanisation à la Torche ? C'est une blague ?? Quand on voit la beauté de ce site, il faut le préserver.

Suite à la "promo" d une telle centrale dans le journal Le Telegramme, pourquoi n y a t il pas de réponse de la part du collectif contre cette usine, afin d informer les citoyens, de rétablir la vérité, et pas laisser le Telegramme faire le jeu de ces bandits( et il y en a dans ce collectif de méthaniais).
Y a t il des reunions d informations de prévue?

http://www.agri72.com/Les-unites-de-methanisation-a-la-ferme-sont--difficilement--rentables-actualite-numero-1883.php

http://www.terraeco.net/La-methanisation-une-solution-pour,18420.html

NON A L'USINE DE MÉTHANISATION DE LA TORCHE

pitié laissons la nature en paix !!! restons un peu sauvage !!!!

Préservons ce bel environnement

http://www.bigouden.tv/Actualites-1412-Un_projet_d_unite_de_methanisation_a_l_etude.html

L'association Agri Méthanier Bigouden (AMB), créée en décembre dernier, vient d'être primée pour leur projet lors des trophées de la vie locale du Crédit Agricole.
Ce collectif d'agriculteurs envisage de développer une unité de méthanisation en pays bigouden. L'objectif étant de créer de l'énergie à partir des déchets de leurs exploitations (fumier, lisiers,...)
Denis Hémon, président de cette jeune association, précise que la réflexion était individuelle chez chacun d'eux, et qu'au travers de rencontres, le collectif s'est mis en place. Que ce soit Denis Hémon, éleveur de porcs à St Jean, Ard Kaandorp bulbiculteur à Plomeur, Pierre Le Floc'h éleveur laitier à St Jean, 3 des membres du bureau, ils sont confrontés à la problématique de leur déchets et recherchent une meilleure valorisation de ces derniers.

La solution de la méthanisation permettrait de valoriser ces derniers.
Le principe de la méthanisation est de faire fermenter les effluents d'élevage (fumier, lisier,..) afin de récupérer du méthane. Ce gaz pourrait, après purification, être utiliser comme gaz de ville ou bien alors transformé en électricité via un groupe électrogène.
Si le fumier et le lisier forment la base de la fermentation par leur apport en bactéries, les porteurs de ce projet souhaitent y inclure d’autres produits très méthanogènes. Ainsi la soupe, comme ils l'appellent pourrait aussi recevoir les graisses d'abattoirs, les graisses issues de la transformation du poisson, les déchets de pelouse des paysagistes, des communautés de communes, mais aussi les graisses de flottation des stations d'épuration.

Maïs, méthanisation et électricité : l’Allemagne, l’exemple à ne pas suivre !
http://www.amisdelaterre.org/Mais-methanisation-et-electricite.html

Extraits

Faire de l’électricité à partir du maïs, cela semblait être une bonne idée. C’est pour cela que les unités de biogaz furent encouragées... En seulement 4 ans, le prix de la location de l’ha est passé de 250 à plus de 600 euros pour an...

Une unité moyenne a besoin de 200 ha cultivés en maïs et elle doit être constamment alimentée. L’appétit pour le maïs a transformé l’Allemagne en désert. Le Schleswig-Holstein, land très plat du nord de l’Allemagne, était autrefois appelé « le pays des horizons ». Aujourd’hui, sur les 150 km entre Hambourg et Flensburg à la frontière danoise, la vue est partout bouchée par les champs de maïs. Entre Brême et Münster, ce n’est pas mieux. Même en Haute Souabe (sud de l’Allemagne) et sur les hauteurs de l’Eiffel (sud-ouest) les prairies ont disparu et ont été labourées...

... Le maïs-énergie est cultivée sur 810 000 ha. Rien qu’en 2011, l’augmentation a été de presque 27 000 ha, avec comme conséquence grotesque que, pour la première fois depuis 25 ans, l’Allemagne ne sera plus capable de couvrir ses besoins en céréales.

Alimenter les humains ou les moteurs ? Dans les bastions de l’élevage de poulets, il a fallu importer du maïs-aliment, puisque les champs sont pris par le maïs-énergie...

...Christoph Lutze, un autre producteur de lait du nord de l’Allemagne explique qu’avant même qu’un agriculteur ne soit enterré, c’est la course pour ses terres. Et il n’est pas le seul à rapporter ces faits. Le producteur de lait a peur pour ses terres en location, peur des « chevaliers brigands modernes » qui sont en quête de nouvelles terres à occuper...

..Cela fait déjà quelque temps que ce ne sont plus uniquement des agriculteurs qui se lancent dans le secteur énergétique. Les investisseurs s’appellent AgriKultur, Deutsche Biogas ou KTG Agrar. Ce sont des sociétés qui reçoivent des centaines de millions d’euros de banques régionales comme celles de Brême ou d’Oldenbourg, les agriculteurs ne servant souvent que de prête-noms. Grâce à eux, ces sociétés peuvent construire facilement une unité de biogaz à proximité de la ferme...

Les responsables de la qualité de l’eau sont aussi inquiets face à la plante miracle. Une centrale produit chaque année près de 20 000 tonnes de déchets de digestion. Ils sont ensuite utilisés comme engrais sur les champs de maïs moissonnés. Comme les lisiers, ce sont de vraies bombes à nitrates...

La charge en nitrates dans les nappes de surface sous les champs de maïs a été mesurée. La plupart du temps, elle se situe entre 80 et 120 mg/l, soit bien au-dessus de la valeur maximale autorisée de 50mg/l. comme l’indique un responsable de l’eau, « Nous sommes en train de créer un très gros problème. Nous acceptons de sacrifier la qualité des eaux souterraines ».
Pendant ce temps, les autorisations pour de nouvelles unités de biogaz continuent d’être données sans problème.

Il y a 4 semaines, un groupe de scientifiques de renom a tout simplement demandé de mettre fin au boum du biogaz. Il s’agissait de chercheurs de l’Académie Nationale des Sciences « Leopoldina », Ce qui les dérangeait le plus était le taux d’efficacité dérisoire par rapport aux immenses surfaces nécessaires...

Voilà, une technique qui, avec 4,8 milliards d’euros de tarifs préférentiels, est maintenue en vie cette année encore, alors qu’elle « n’a aucune chance » face à l’éolien et au photovoltaïque, selon le chercheur de l’Académie, Rolf Thauer,

Par rapport à l’énergie utilisée, l’électricité photovoltaïque est 5 fois plus efficace que l’électricité produit à partir de biogaz et l’éolien 10 fois plus.
Lorsqu’on parle de transition énergétique, de tels calculs font désordre...

L’usine ne tournera pas qu’au vert
http://www.sudouest.fr/2013/11/16/l-usine-ne-tournera-pas-qu-au-vert-1230909-2277.php#xtor=RSS-10521769
Veolia devrait obtenir l’autorisation de traiter les déchets de viande d’ici à quelques jours.
A l'heure où la Région Midi-Pyrénées se place comme le fer de lance de la méthanisation, l'usine d'Auch continue d'inquiéter les défenseurs de l'environnement quant au risque de développement de bactéries des déchets de viande. En effet, en septembre dernier, face à la trop faible quantité de déchets verts pour alimenter l'usine, Sede Environnement, filiale de Veolia, a dû demander un agrément temporaire de la Direction départementale des territoires (DDT) pour utiliser des « produits animaux ». Les responsables du site auscitain espèrent obtenir leur sésame dans une semaine.
Vendredi dernier, le 8 novembre, la Région Midi-Pyrénées organisait les premières Rencontres nationales du biogaz avec 453 personnes de 33 départements de France. En présence de Philippe Martin, ministre de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie, et Martin Malvy, président de la Région Midi-Pyrénées. Le but était d'accompagner la structuration de la filière et de faciliter les démarches des porteurs de projets.
Vincent Hoste, le responsable régional de Sede-Environnement qui gère l'usine auscitaine se veut rassurant, en se gardant toutefois de livrer des détails sur la manière dont fonctionne l'usine et sur la nature des déchets carnés qui seront reçus ou sur les mécanismes de traitements des matières qui sortiront de l'usine pour être traitées. « Les services de l'État ont déjà tous ces détails », assure-t-il, ne voyant pas l'intérêt de l'expliquer au grand public.

Le site de la Torche doit être préservé.

Empêchons ces dangereux Hollandais de continuer à massacrer cet endroit magnifique.

La torche: spot de surf mondial, qui abrite des espèces protégées DONC NON à cette usine

La Torche est un site classé naturel depuis 1965 . Voir : " prérogatives d'un site classé " .
Il est hors de question de défigurer cet endroit magnifique où j'ai vécu tant d'années .
Qu'ils aillent construire leur usine là où il y a des cochons .Il n'y a jamais eu d'élevage porcin à La Torche .

Méthanisation : le projet contesté
http://www.bigouden.tv/Actualites-2932-Plomeur_Methanisation_:_le_projet_conteste.html

http://www.bigouden.tv/accueil.php?cx=react&action=reaction&idact=2932

#76: -

et bien! quel argument !!!! Seulement soucieux de votre investissement immobilier en pays bigouden, qui pourrait prendre un coup avec ce projet.. Superbe exemple de TPMG (tout pour ma gueule), symptomatique de la société d'aujourd'hui. ou tout pour mon porte-monnaie.. j'espère quand même que vous n'avez pas le culot de voter écologiste en plus..

Méthanisation : « pas de concertation »
http://www.bigouden.tv/Actualites-2971-Plomeur_Methanisation_:__pas_de_concertation_.html
Lors du conseil municipal de Plomeur, qui s'est déroulé vendredi 23 mai 2014, le sujet du projet de méthanisation a été abordé en fin de séance. Le maire a ainsi répondu à la demande d'informations émanant des élus de la liste "Plomeur autrement" emmenée par Valérie Le Bellec.

"Je passe en ce moment beaucoup de temps à répondre aux questions de mes administrés, inquiets " a tout d'abord souligné Ronan Crédou, avant de préciser que les élus de Plomeur avaient rencontré les porteurs du projet, qu'ils les avaient écoutés, mais qu'en aucun cas, il n'y avait eu de concertation, comme avance Denis Hémon, président de la SAS Agri Méthaniers Bigoudens (voir notre article du 13 mai 2014)

Autre point de divergence avec le projet des futurs méthaniers : Ronan Crédou a affirmé devant son conseil qu'il est "hors de question que le lisioduc passe par la voie communale". Les porteurs de projet souhaitent en effet alimenter les effluents de l'exploitation porcine du Gibit par un lisioduc souterrain.

De son côté, Olivier Coquellin, élu minoritaire, a précisé ne pas être contre le principe de méthanisation - qui selon lui fait partie intégrante de la transistion énergétique - mais opposé à l'emplacement retenu. "Tout le monde se sent concerné par la Torche" a renchérit Gaëlle Biger, première adjointe. "L'inquiétude de tout le monde c'est le site choisi" a alors résumé le premier magistrat de la commune.

Olivier Coquelin a alors proposé que le conseil se prononce sur le projet par un vote. Impossible, tant que le projet est en cours d'instruction lui a retorqué l'équipe en place.

Mais, "nous avons des comptes à rendre à nos administrés" a déclaré Ronan Crédou, faisant implicitement référence au risque potentiel de cette future usine, tout en ajoutant ne pas avoir "tous les pouvoirs."

Dans les prochaines semaines, Ronan Crédou et Raynald Tanter, président de la Communauté de communes du pays bigouden sud (CCPBS) devraient rencontrer les porteurs du projet.